MONTRÉAL, le 13 août 2024 /CNW/ - Le gouvernement de
François Legault est au pouvoir depuis six ans. Il promettait de
faire de l'éducation une priorité nationale. Or, ses deux ministres
de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur n'obtiennent pas la
note de passage. La signature des nouvelles conventions ne suffira
pas.
Les nombreux problèmes persistent :
- pénurie de personnel à tous les niveaux ;
- sous-financement des universités et des cégeps ;
- vétusté des immeubles ;
- intelligence artificielle non balisée ;
- violence à l'école.
La présidente de la CSN, Caroline
Senneville, sera accompagnée des porte-paroles des trois
fédérations de l'éducation de la centrale pour répondre aux
questions des médias et brosser un état des lieux, de la maternelle
à l'université.
La CSN compte quelque 80 000 membres dans le secteur de
l'éducation, dont 45 000 en enseignement supérieur. Elle
représente 85 % des employé-es du milieu
collégial.
QUAND :
Mercredi 14 août à 8 h 30
OÙ :
Salle de presse de la CSN
1601, De Lorimier,
Montréal, H2K 4M5 (stationnement gratuit via l'entrée de la rue
Logan)
QUOI :
Conférence de presse de la rentrée scolaire
À propos
Fondée en 1921, la CSN est la première grande centrale syndicale
québécoise et elle compte près de 80 000 membres dans le
secteur de l'éducation et de l'enseignement supérieur qui sont
répartis dans trois fédérations.
La FNEEQ-CSN regroupe quelque 37 000 membres en
enseignement supérieur, à savoir les professeur-es de
45 cégeps et 12 collèges privés, ainsi que des chargé-es
de cours, des personnes tutrices et des étudiantes et étudiants
salarié-es dans onze universités québécoises.
La FEESP-CSN représente 10 000 employé-es de soutien dans
le réseau de l'enseignement supérieur.
La FP-CSN représente plus de 700 professionnèles du réseau
collégial et universitaire et près de 1 500 professeur-es
d'université.
SOURCE CSN - Confédération des syndicats nationaux