- Produits des activités ordinaires de
1 072,5 millions $, par rapport à
1 012,0 millions $ pour l'exercice
précédent
- Résultat par action (RPA) des activités poursuivies de
0,15 $, par rapport à 0,20 $ pour l'exercice
précédent
- RPA ajusté(1) de 0,21 $, par rapport à
0,24 $ pour l'exercice précédent
- Résultat opérationnel de 108,6 millions $, par
rapport à 128,3 millions $ pour l'exercice
précédent
- Résultat opérationnel sectoriel ajusté(1) de
134,2 millions $, par rapport à
143,3 millions $ pour l'exercice précédent
- Prises de commandes ajustées(1) de
1 192,0 millions $ et carnet de commandes
ajusté(1) de 17,0 milliards $
- Ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté(1)
de 3,41 (3,11, abstraction faite des anciens
contrats(1)(2)), par rapport à 3,17 (2,89,
abstraction faite des anciens contrats) à la fin du trimestre
précédent
- Rachat et annulation de 463 500 actions
ordinaires, au prix moyen pondéré de 25,21 $, aux
termes de l'offre publique de rachat dans le cours normal des
activités
- Reclassement des chiffres comparatifs de manière à refléter
les activités abandonnées
MONTRÉAL, le
13 août 2024 /CNW/ - (NYSE : CAE)
(TSX : CAE) - CAE inc. (« CAE » ou
la « Société ») annonce aujourd'hui ses résultats
financiers du premier trimestre clos le 30 juin 2024. La
Société fait également le point sur ses progrès en matière de
rationalisation de son organisation et de ses activités en tirant
parti des possibilités de renforcer les synergies entre ses
secteurs et de réaliser des gains d'efficacité. Sur la base de ces
initiatives et de l'évolution externe des marchés, la
direction apporte également des modifications supplémentaires à ses
perspectives pour l'ensemble de l'exercice.
« Au dernier trimestre, nous avons pris les
mesures nécessaires en vue d'améliorer la marge de notre secteur
Défense, et je me réjouis des progrès que nous avons accomplis pour
tenir nos engagements », a déclaré Marc Parent,
président et chef de la direction de CAE. « Nous avons
également continué à saisir les occasions de rationaliser CAE afin
d'améliorer davantage notre exécution et notre efficacité
opérationnelle. La croissance à long terme demeure intéressante
dans le marché de l'aviation civile comme dans celui de la défense
et, malgré l'incidence à court terme des vents contraires qui
soufflent actuellement sur les chaînes d'approvisionnement du
secteur du transport aérien, les prises de commandes consolidées
ajustées de près de 1,2 milliard $ et le carnet de
commandes ajusté record de 17,0 milliards $ pour le trimestre
continuent d'indiquer un avenir particulièrement prometteur pour
CAE. »
Optimisation des coûts et
réorganisation
Sous la direction de son nouveau chef de
l'exploitation, Nick Leontidis, CAE a identifié d'autres
occasions de rationaliser davantage son organisation, d'éliminer
les dédoublements et d'optimiser sa structure de coûts.
Le poste de chef de l'exploitation de l'entreprise couvre
maintenant les cinq divisions de CAE, ce qui a permis
de supprimer des postes de direction dans les secteurs Civil
et Défense et de rationaliser davantage les fonctions de soutien,
les services d'ingénierie et la présence de CAE partout dans le
monde afin de créer des synergies supplémentaires dans l'ensemble
de l'entreprise. La Société s'attend à engager des frais de
restructuration supplémentaires d'environ 20 millions $
au deuxième trimestre et à réaliser pleinement les économies
annuelles connexes d'environ 20 millions $ d'ici la fin
du prochain exercice.
Résultats consolidés
Au premier trimestre de l'exercice 2025, les
produits des activités ordinaires se sont établis à
1 072,5 millions $, comparativement à
1 012,0 millions $ pour le premier trimestre de
l'exercice précédent. Le RPA des activités poursuivies s'est établi
à 0,15 $ au premier trimestre, comparativement à 0,20 $ à
l'exercice précédent. Le RPA ajusté a totalisé 0,21 $ au
premier trimestre, comparativement à 0,24 $ pour l'exercice
précédent.
Le résultat opérationnel du trimestre s'est
établi à 108,6 millions $ (10,1 % des produits des
activités ordinaires(1)), comparativement à
128,3 millions $ (12,7 % des produits des activités
ordinaires) pour l'exercice précédent. Au premier trimestre,
le résultat opérationnel sectoriel ajusté s'est fixé à
134,2 millions $ (12,5 % des produits
des activités ordinaires(1)), par rapport à 143,3
millions $ (14,2 % des produits des activités ordinaires) pour
l'exercice précédent. Toute l'information financière est en dollars
canadiens et les résultats sont présentés sur la base des activités
poursuivies, à moins d'indication contraire.
Sommaire des résultats consolidés
(montants en millions, sauf les montants par
action)
|
T1-2025
|
|
T1-2024
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
1 072,5
|
$
|
1 012,0
|
$
|
6
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
108,6
|
$
|
128,3
|
$
|
(15)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel ajusté(1)
|
134,2
|
$
|
143,3
|
$
|
(6)
|
%
|
En pourcentage des produits des activités
ordinaires(1)
|
12,5
|
%
|
14,2
|
%
|
|
|
Résultat net
attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres
de la Société
|
48,3
|
$
|
65,3
|
$
|
(26)
|
%
|
Résultat par action
(RPA) des activités poursuivies
|
0,15
|
$
|
0,20
|
$
|
(25)
|
%
|
RPA
ajusté(1)
|
0,21
|
$
|
0,24
|
$
|
(13)
|
%
|
Prises de commandes
ajustées(1)
|
1 192,0
|
$
|
967,9
|
$
|
23
|
%
|
Carnet de commandes
ajusté(1)
|
16 977,9
|
$
|
11 183,5
|
$
|
52
|
%
|
(1) Le
présent communiqué de presse comprend des mesures financières non
conformes aux IFRS, des ratios non conformes aux IFRS, des mesures
de gestion du capital et des mesures financières
supplémentaires. Ces mesures ne sont pas des mesures financières
normalisées en vertu des IFRS; le lecteur doit donc se garder
de les confondre avec les mesures du rendement établies
conformément aux IFRS ou de les substituer à celles‑ci.
En outre, il doit éviter de comparer ces mesures aux mesures
portant un nom similaire que fournissent ou utilisent d'autres
émetteurs. Veuillez vous reporter à la section « Mesures
non conformes aux IFRS et autres mesures financières » du
présent communiqué de presse pour une définition de ces mesures et
leur rapprochement avec la mesure conforme aux IFRS la plus
directement comparable.
|
(2) Au sein
du secteur Défense, bon nombre de contrats à prix fixe offrent
certains avantages et gains d'efficacité potentiels, mais peuvent
également être marqués par l'évolution défavorable de la
conjoncture économique, y compris les perturbations
inattendues de la chaîne d'approvisionnement, les pressions
inflationnistes, la disponibilité de la main-d'œuvre et les
difficultés d'exécution. Ces risques peuvent entraîner des
dépassements de coûts et une réduction des marges bénéficiaires ou
des pertes. Bien que ces risques puissent souvent être gérés ou
atténués, il y a huit anciens contrats distincts qui
ont été conclus avant la pandémie de COVID-19 ayant une structure
de contrat à prix fixe, avec peu ou pas de disposition pour des
hausses des coûts, et qui ont été plus lourdement touchés par ces
risques (les « anciens contrats »).
|
Aviation civile (Civil)
Au
premier trimestre, le secteur Civil a enregistré des produits des
activités ordinaires de 587,6 millions $,
par rapport à 540,3 millions $ pour le premier
trimestre de l'exercice précédent. Le résultat opérationnel s'est
établi à 89,8 millions $ (15,3 % des produits des
activités ordinaires), par rapport à 105,6 millions $
(19,5 % des produits des activités ordinaires) pour le
trimestre correspondant de l'exercice précédent. Le résultat
opérationnel sectoriel ajusté s'est établi à
106,4 millions $ (18,1 % des produits des activités
ordinaires) pour ce trimestre, comparativement à
119,0 millions $ (22,0 % des produits des activités
ordinaires) pour le premier trimestre de l'exercice précédent. Le
résultat opérationnel sectoriel ajusté et les marges du secteur
Civil ont diminué pour le trimestre, principalement en raison de
l'intensification des conversions aux logiciels-services (SaaS)
dans le domaine des Solutions pour les opérations aériennes et de
la baisse progressive du recours aux services de formation dans le
domaine de l'aviation commerciale. Au cours du trimestre, le
secteur Civil a livré 8 simulateurs de vol (FFS) à des
clients, et le taux d'utilisation de ses centres de formation s'est
établi à 76 %.
Le secteur Civil a obtenu ce trimestre des
contrats de solutions de formation d'une valeur de
770,5 millions $, notamment une série de contrats
commerciaux à long terme et d'ententes de formation dans le domaine
de l'aviation d'affaires, des contrats de services aériens
numériques et des contrats visant la vente de 11 FFS.
Le ratio valeur comptable des
commandes/ventes(1) du secteur Civil s'est établi à un
solide 1,31 pour le trimestre et à 1,23 pour les
12 derniers mois. Le carnet de commandes ajusté du secteur
Civil s'établissait à un montant record de
6,6 milliards $ à la fin du trimestre.
Sommaire des résultats - Aviation
civile
(montants en millions)
|
T1-2025
|
|
T1-2024
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
587,6
|
$
|
540,3
|
$
|
9
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
89,8
|
$
|
105,6
|
$
|
(15)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel ajusté
|
106,4
|
$
|
119,0
|
$
|
(11)
|
%
|
En pourcentage des produits des activités
ordinaires
|
18,1
|
%
|
22,0
|
%
|
|
|
Prises de commandes
ajustées
|
770,5
|
$
|
730,2
|
$
|
6
|
%
|
Carnet de commandes
ajusté
|
6 585,3
|
$
|
5 764,8
|
$
|
14
|
%
|
|
|
|
|
|
|
|
Renseignements non financiers
supplémentaires
|
|
|
|
|
|
|
Nombre équivalent de
simulateurs
|
279
|
|
268
|
|
4
|
%
|
FFS dans le réseau de
CAE
|
349
|
|
327
|
|
7
|
%
|
FFS livrés
|
8
|
|
6
|
|
33
|
%
|
Taux
d'utilisation
|
76
|
%
|
77
|
%
|
(1)
|
%
|
Défense et Sécurité (Défense)
Au
premier trimestre, le secteur Défense a enregistré des produits des
activités ordinaires de 484,9 millions $,
par rapport à 471,7 millions $ pour le premier
trimestre de l'exercice précédent. Le résultat opérationnel s'est
établi à 18,8 millions $ (3,9 % des produits des
activités ordinaires), par rapport à 22,7 millions $
(4,8 % des produits des activités ordinaires) pour le
trimestre correspondant de l'exercice précédent. Le résultat
opérationnel sectoriel ajusté s'est fixé à
27,8 millions $ (5,7 % des produits des activités
ordinaires) ce trimestre, comparativement à
24,3 millions $ (5,2 % des produits des activités
ordinaires) pour le premier trimestre de l'exercice précédent.
Le secteur Défense a obtenu ce trimestre des
commandes d'une valeur de 421,5 millions $, pour un ratio
valeur comptable des commandes/ventes de 0,87. Ce ratio s'est
établi à 1,13 pour les 12 derniers mois. Le carnet de
commandes ajusté du secteur Défense, y compris les contrats
non financés obtenus et la participation de CAE dans des
coentreprises, s'établissait à 10,4 milliards $ à la fin
du trimestre, en hausse par rapport à 5,7 milliards $ à
la fin du quatrième trimestre de l'exercice 2024. Ce résultat
tient compte de la quote-part de CAE
de 50 % du contrat d'une durée de 25 ans et d'une valeur de
11,2 milliards $ attribué à la coentreprise CAE SkyAlyne pour
le programme de formation du personnel navigant de l'avenir
(FPNA) du Canada. Le bassin d'occasions d'affaires du secteur
Défense demeure solide, des soumissions et propositions d'une
valeur de quelque 10,0 milliards $ étant en attente de la
décision des clients.
Sommaire des résultats - Défense et
Sécurité
(montants en millions)
|
T1-2025
|
|
T1-2024
|
|
Variation
en %
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
484,9
|
$
|
471,7
|
$
|
3
|
%
|
Résultat
opérationnel
|
18,8
|
$
|
22,7
|
$
|
(17)
|
%
|
Résultat opérationnel
sectoriel ajusté
|
27,8
|
$
|
24,3
|
$
|
14
|
%
|
En pourcentage des produits des activités
ordinaires
|
5,7
|
%
|
5,2
|
%
|
|
|
Prises de commandes
ajustées
|
421,5
|
$
|
237,7
|
$
|
77
|
%
|
Carnet de commandes
ajusté
|
10 392,6
|
$
|
5 418,7
|
$
|
92
|
%
|
Autres points saillants financiers
CAE
a engagé des coûts de 10,8 millions $ relativement à l'intégration
d'AirCentre, qui devrait être achevée au deuxième trimestre de
l'exercice 2025, ainsi que des coûts de 14,8 millions $ dans le
cadre de son programme de restructuration qui vise à rationaliser
le modèle d'exploitation et le catalogue de CAE, à optimiser sa
structure de coûts et à générer des gains d'efficacité. Compte tenu
des possibilités supplémentaires d'optimisation des coûts et de la
rationalisation de la structure organisationnelle de CAE sous la
direction de son nouveau chef de l'exploitation, CAE prévoit
engager des frais de restructuration supplémentaires d'environ 20
millions $ au deuxième trimestre de l'exercice 2025. Ces
possibilités supplémentaires se composent principalement de
l'élimination de postes de direction, y compris les postes de
président de groupe dans les secteurs Civil et Défense, et de la
consolidation de plusieurs groupes de services partagés dans
l'ensemble de l'organisation. CAE s'attend à réaliser pleinement
les économies annuelles connexes d'environ 20 millions $ d'ici la
fin du prochain exercice.
Pour le trimestre considéré, le montant net des
charges financières s'est établi à 49,5 millions $,
comparativement à 52,4 millions $ au trimestre précédent
et à 53,1 millions $ au premier trimestre de l'exercice
précédent.
La charge d'impôt sur le résultat s'est établie à
8,3 millions $ ce trimestre, ce qui correspond à un taux
d'imposition effectif de 14 %, par rapport à 11 % au
premier trimestre de l'exercice précédent. Le taux d'imposition
effectif ajusté(1), qui s'entend du taux d'imposition
utilisé pour calculer le résultat net ajusté et le RPA ajusté,
s'est établi à 17 % pour le trimestre, comparativement à
13 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.
L'augmentation du taux d'imposition effectif ajusté traduit
essentiellement l'avantage fiscal découlant d'une décision rendue
par la cour de l'impôt à l'exercice précédent, neutralisé en partie
par la variation de la composition des revenus provenant de
différents territoires.
Les sorties de trésorerie nettes liées aux
activités opérationnelles se sont établies à
12,9 millions $ pour le trimestre, comparativement à
49,3 millions $ pour le premier trimestre de l'exercice
précédent. Les flux de trésorerie disponibles(1)
correspondent à un montant négatif de 25,3 millions $
pour le trimestre, comparativement à un montant négatif de
110,3 millions $ pour le premier trimestre de l'exercice
précédent. La hausse s'explique en grande partie par l'augmentation
des flux de trésorerie nets liés aux activités opérationnelles et
par la baisse des dépenses d'investissement en immobilisations
liées à la maintenance.
Les dépenses d'investissement en immobilisations
liées à la croissance et à la maintenance(1) ont
totalisé 92,6 millions $ pour le trimestre.
À la fin du trimestre, la dette
nette(1) était de 3 129,7 millions $ et
le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté(1)
était de 3,41 (3,11, abstraction faite des anciens
contrats(1)(2)). À la fin du trimestre précédent, la
dette nette était de 2 914,2 millions $ et le ratio
de la dette nette sur le BAIIA ajusté était de 3,17 (2,89,
abstraction faite des anciens contrats).
Le rendement du capital utilisé(1)
ajusté s'est établi à 5,7 % pour le trimestre, comparativement
à 5,9 % au trimestre précédent et à 6,7 % au premier
trimestre de l'exercice précédent.
Au cours du trimestre, CAE a racheté et annulé
463 500 actions ordinaires aux termes de son offre
publique de rachat dans le cours normal des activités, qui a pris
effet le 30 mai 2024, au prix moyen pondéré de
25,21 $ l'action ordinaire, pour une contrepartie totale
de 11,7 millions $.
(1) Le
présent communiqué de presse comprend des mesures financières non
conformes aux IFRS, des ratios non conformes aux IFRS, des mesures
de gestion du capital et des mesures financières
supplémentaires. Ces mesures ne sont pas des mesures financières
normalisées en vertu des IFRS; le lecteur doit donc se garder
de les confondre avec les mesures du rendement établies
conformément aux IFRS ou de les substituer à celles‑ci.
En outre, il doit éviter de comparer ces mesures aux mesures
portant un nom similaire que fournissent ou utilisent d'autres
émetteurs. Veuillez vous reporter à la section « Mesures non
conformes aux IFRS et autres mesures financières » du présent
communiqué de presse pour une définition de ces mesures et leur
rapprochement avec la mesure conforme aux IFRS la plus
directement comparable.
|
(2) Au sein
du secteur Défense, bon nombre de contrats à prix fixe offrent
certains avantages et gains d'efficacité potentiels, mais peuvent
également être marqués par l'évolution défavorable de la
conjoncture économique, y compris les perturbations
inattendues de la chaîne d'approvisionnement, les pressions
inflationnistes, la disponibilité de la main-d'œuvre et les
difficultés d'exécution. Ces risques peuvent entraîner des
dépassements de coûts et une réduction des marges bénéficiaires ou
des pertes. Bien que ces risques puissent souvent être gérés ou
atténués, il y a huit anciens contrats distincts qui
ont été conclus avant la pandémie de COVID-19 ayant une structure
de contrat à prix fixe, avec peu ou pas de disposition pour des
hausses des coûts, et qui ont été plus lourdement touchés par ces
risques (les « anciens contrats »).
|
Développement durable
Ce trimestre, CAE
a publié son Rapport annuel mondial d'activités et de développement
durable pour l'exercice 2024. Ce document exhaustif souligne
les progrès de CAE dans l'intégration des facteurs
environnementaux, sociaux et économiques dans son modèle d'affaires
et dans son processus décisionnel dans l'optique de générer un
succès à long terme et de créer des impacts positifs pour ses
parties prenantes et la société dans son ensemble. Ce rapport
marque des progrès au niveau de la feuille de route stratégique de
cinq ans de la Société en matière d'ESG. Comme en témoigne la
culture de respect des meilleures normes de transparence de CAE,
le rapport a été amélioré pour plus de transparence.
En vue de la mise en conformité avec les règlements
obligatoires en matière de déclaration d'information
extrafinancière, CAE a effectué une évaluation externe
de l'état de préparation d'IPC spécifiques, dont les
résultats de l'évaluation sont intégrés dans notre processus
d'amélioration continue à court terme.
Le rapport souligne le parcours actuel de CAE
vers la gestion de l'environnement, la responsabilité sociale et
l'adoption de pratiques commerciales durables, notamment
l'engagement actif de CAE en tant qu'agent de changement au sein du
secteur de l'aéronautique et de la défense pour inspirer nos pairs
et nos partenaires à passer à l'action et à accélérer
les progrès en matière de décarbonation. CAE a favorisé une
collaboration plus étroite avec ses fournisseurs en ce qui a trait
à la décarbonation, y compris par le biais de son nouveau
programme CAE Résilients ensemble. En conséquence, l'effort de
mobilisation des fournisseurs mené par CAE auprès d'Ecovadis est le
plus élevé au sein des membres de l'International Aerospace
Environmental Group (IAEG). Par ailleurs, CAE a soumis ses
cibles à court terme fondées sur la science pour validation par la
SBTi (Science Based Targets Initiative). Ce processus d'un
an a nécessité l'alignement de l'ensemble de notre organisation.
CAE a également obtenu pour la première fois le statut Engagé dans
le cadre du programme « Relations progressistes avec les
Autochtones », premier pas important de son parcours vers la
réconciliation.
Pour en savoir plus sur la feuille de route et
les réalisations de CAE en matière de développement durable,
consultez le rapport, au
https://www.cae.com/fr/developpement-durable/.
Perspectives de la direction
Civil
La demande à long terme pour
les solutions de formation aéronautique demeure intéressante et la
Société demeure bien positionnée. La direction cible maintenant une
croissance annuelle du résultat opérationnel sectoriel ajusté du
secteur Civil d'environ 10 % pour l'exercice. Le rendement du
secteur Civil devrait s'accentuer au cours de la deuxième moitié de
l'exercice. La direction s'attend maintenant à ce que la marge
opérationnelle sectorielle ajustée du secteur Civil s'établisse
entre 22 % et 23 % et prévoit des possibilités de croissance
en matière de volumes, d'efficacité et de composition des ventes
bien supérieures à celles de l'exercice en cours. Les perspectives
pour le secteur Civil tiennent compte des vents contraires déjà
connus qui soufflent sur une partie de son sous-secteur de la
formation pour l'aviation commerciale et qui sont accentués par les
contraintes de chaîne d'approvisionnement des appareils des
fabricants OEM et les mesures récentes prises par certaines
compagnies aériennes pour réduire temporairement l'embauche de
pilotes. À la lumière de ces perspectives, CAE a entrepris des
initiatives pour réaliser des économies de coûts opérationnels
supplémentaires qui devraient atténuer les effets de la baisse
progressive de la demande de formation initiale à court terme. La
Société présume également que les contraintes pesant sur l'offre
d'appareils commerciaux s'assoupliront et que l'embauche de pilotes
reprendra au cours de la deuxième moitié de son exercice, ce qui
est cohérent avec les réservations de formation actuelles pour la
période. De plus, la Société prévoit le maintien d'un bon rendement
dans le domaine de la formation pour l'aviation d'affaires,
l'accroissement de la rentabilité au sein des Solutions pour les
opérations aériennes et l'augmentation des volumes et de la
rentabilité provenant des livraisons de simulateurs de vol (FFS).
Les perspectives de la direction pour le secteur Civil tiennent
également compte de l'augmentation progressive de l'offre de
service des nouveaux centres de formation et des simulateurs de vol
récemment déployés, facteurs partiellement contrebalancés par
l'intensification des conversions aux SaaS en cours dans le domaine
des Solutions pour les opérations aériennes.
Défense
Après avoir redéfini le secteur
Défense et pris en compte de manière substantielle le risque lié
aux programmes précédemment identifié, la direction s'attend à une
croissance annuelle des produits des activités ordinaires du
secteur Défense se situant dans la fourchette inférieure du
pourcentage à un chiffre et à une augmentation de sa marge
opérationnelle sectorielle ajustée annuelle d'environ 6 % à 7 %
pour l'exercice 2025, avec également des possibilités de croissance
au-delà de l'exercice en cours. De même, la direction s'attend à ce
que le rendement annuel du secteur Défense s'accentue au cours de
la deuxième moitié de l'exercice. La direction prévoit également
une croissance ajustée importante du carnet de commandes du secteur
Défense pour l'exercice, avec l'ajout de vastes programmes
pluriannuels faisant actuellement l'objet de négociations.
La Société continue de viser une croissance du
RPA sur trois ans (de l'exercice 2022 à l'exercice 2025) dans la
fourchette médiane du pourcentage à deux chiffres.
Charges financières et charge
d'impôt
La direction s'attend à ce que les charges
financières annuelles soient similaires à celles de
l'exercice 2024 en raison de la baisse des charges
d'intérêts sur la dette, compensée par la hausse des charges
locatives engagées pour soutenir l'ajout récent de centres de
formation dans le réseau mondial de formation en soutien à la
croissance. Le taux d'imposition effectif annuel devrait être
d'environ 25 %, compte tenu des produits des activités
ordinaires attendus des divers territoires et de la mise en œuvre
des politiques d'impôt mondial minimum.
Priorités équilibrées en matière de
répartition du capital et investissements de croissance
relutifs
En raison de son approche disciplinée qui consiste
à investir en phase avec la demande du marché, CAE a revu à la
baisse ses prévisions totales en matière de dépenses
d'investissement en immobilisations pour l'exercice 2025, les
ramenant au bas de la fourchette qu'elle avait indiquée
précédemment, soit de 50 à 100 millions $, par
rapport à celles de l'exercice 2024, qui ont totalisé
329,8 millions $. Dans la foulée du succès continu de CAE
à saisir les occasions d'affaires dans le domaine de la
formation, environ les trois quarts de cette somme sont liés à
des investissements de croissance interne dans des simulateurs
qui seront déployés dans le réseau mondial de CAE, principalement
les centres de formation aéronautique et soutenus par des contrats
pluriannuels avec les clients.
Situation financière solide
L'un des
principes des priorités de CAE en matière de gestion du capital est
le maintien d'une situation financière solide, et la Société
s'attend à continuer de renforcer son bilan grâce au désendettement
continu, à la mesure de sa cote de crédit.
Rendement du capital investi à court terme
pour les actionnaires
Compte tenu des progrès réalisés par
CAE au cours des 12 derniers mois pour renforcer sa situation
financière, une offre publique de rachat dans le cours normal des
activités a été établie dans le cadre de sa stratégie de gestion du
capital et est actuellement destinée à être utilisée, au moment
opportun, à même l'excédent de flux de trésorerie disponibles. À la
lumière des perspectives de la Société et de la capacité de ses
activités hautement récurrentes à générer de la trésorerie, le
conseil d'administration de CAE continuera également d'évaluer la
possibilité de réinstaurer un dividende à l'intention des
actionnaires.
Mise en garde concernant les
perspectives
Les perspectives de la direction
pour l'exercice 2025 et les objectifs et attentes
ci‑dessus constituent des énoncés prospectifs au sens des lois sur
les valeurs mobilières applicables et sont fondés sur un certain
nombre d'hypothèses, notamment en ce qui concerne les conditions de
marché en vigueur, les facteurs macroéconomiques et géopolitiques,
les chaînes d'approvisionnement et les marchés du travail. Les
attentes sont également assujetties à nombre de risques et
d'incertitudes et sont fondées sur des hypothèses concernant la
réceptivité des clients aux solutions de formation et de soutien
opérationnel de CAE, ainsi que sur les hypothèses importantes
formulées dans ce communiqué, dans le rapport de gestion
trimestriel et dans le rapport de gestion de l'exercice 2024
de CAE, qui sont tous disponibles sur notre site Web
(www.cae.com), sur SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et sur EDGAR
(www.sec.gov). Veuillez consulter les sections intitulées
« Mise en garde concernant les énoncés prospectifs »,
« Hypothèses importantes » et « Risques
importants », plus loin.
Information détaillée
Nous recommandons fortement aux lecteurs de
consulter le rapport de gestion ainsi que les états financiers
consolidés de CAE pour le trimestre clos le 30 juin 2024,
qui sont disponibles sur notre site Web (www.cae.com),
sur SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et sur EDGAR (www.sec.gov),
pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats
sectoriels. Les détenteurs de titres de CAE peuvent également
obtenir un exemplaire imprimé des états financiers consolidés
et du rapport de gestion de la Société, sans frais, en
communiquant avec le service de Relations avec les
investisseurs (investisseurs@cae.com).
Conférence téléphonique sur les résultats du
T1 de l'exercice 2025
Marc Parent, président et chef de la direction de CAE;
Sonya Branco, vice‑présidente exécutive, Finances, et chef de
la direction financière; et Andrew Arnovitz, vice-président
principal, Relations avec les investisseurs et Gestion du risque
d'entreprise, tiendront une conférence téléphonique qui sera axée
sur les résultats demain à 8 h (HE). La conférence est
destinée aux analystes, aux investisseurs institutionnels et aux
médias. Le numéro à composer pour entendre cette téléconférence est
le +1-844-763-8274 ou le +1-647-484-8814. Une diffusion audio
en direct sera accessible sur le site Web de CAE à
www.cae.com.
À propos de CAE
CAE fournit aux
personnes occupant des fonctions critiques le savoir‑faire et les
solutions nécessaires afin de rendre le monde plus
sécuritaire. En tant qu'entreprise technologique, nous tirons parti
des technologies numériques pour recréer le monde réel en déployant
des solutions logicielles de formation fondées sur la simulation et
de soutien opérationnel critique. Par‑dessus tout, nous permettons
aux pilotes, aux membres d'équipage, aux techniciens de
maintenance, aux compagnies aériennes, aux exploitants d'avions
d'affaires de même qu'aux forces de défense et de sécurité de
donner le meilleur d'eux‑mêmes, chaque jour et lorsque les enjeux
sont les plus élevés. Dans le monde entier, nous sommes présents
partout où les clients ont besoin de nous, avec quelque
13 000 employés répartis dans plus de
240 emplacements et centres de formation dans plus de
40 pays. CAE s'appuie sur plus de 75 ans
d'innovations dans la conception de simulateurs de vol et de
missions de la plus haute fidélité possible ainsi que des
programmes de formation alimentés par les technologies numériques.
Nous intégrons le développement durable dans tout ce que nous
faisons. Aujourd'hui comme demain, nous nous assurerons que nos
clients sont prêts lors des moments qui comptent le plus.
Mise en garde concernant les contraintes liées
au communiqué sommaire des résultats
Ce communiqué sommaire
des résultats renferme des renseignements limités qui visent à
aider le lecteur à évaluer le rendement de CAE, mais ces
renseignements ne devraient pas être utilisés par les lecteurs qui
ne connaissent pas CAE et ne devraient en aucun cas remplacer les
états financiers, les notes annexes aux états financiers et le
rapport de gestion de CAE.
Mise en garde concernant les énoncés
prospectifs
Le présent communiqué contient des énoncés de
nature prospective concernant nos activités, les événements et les
faits nouveaux qui pourraient selon nous avoir lieu dans l'avenir.
Il s'agit par exemple d'énoncés concernant notre vision, nos
stratégies, les tendances et perspectives commerciales, nos
produits des activités ordinaires futurs, notre bénéfice, la
croissance de nos flux de trésorerie, les tendances du
bénéfice, nos dépenses d'investissement en immobilisations liées à
la croissance et nos expansions et initiatives nouvelles,
y compris les initiatives ayant trait aux questions
environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), nos
obligations financières, nos liquidités disponibles, nos ventes
futures, la conjoncture économique et politique en général,
les tendances inflationnistes, les perspectives et tendances
d'un secteur d'activité, les économies de coûts récurrentes
annuelles prévues qui découleront des programmes d'excellence
opérationnelle, notre gestion de la chaîne d'approvisionnement, les
marchés potentiels estimés, la demande pour les produits et les
services de CAE, notre accès aux ressources en capital, notre
situation financière, l'accroissement prévu de divers paramètres
financiers, les remboursements de capital prévus pour les
actionnaires, nos perspectives commerciales, nos occasions
d'affaires, nos objectifs, notre développement, nos plans, nos
stratégies de croissance et autres priorités stratégiques, et notre
position concurrentielle et de chef de file dans nos marchés,
l'accroissement de nos parts de marché, la capacité de
CAE de répondre à la demande pour
les nouvelles technologies et son degré de préparation pour ce
faire, la durabilité de nos activités, notre capacité à retirer les
anciens contrats comme prévu et à gérer et atténuer les risques qui
y sont associés, l'incidence du retrait des anciens contrats ,
ainsi que d'autres énoncés qui ne concernent pas des faits
historiques.
Étant donné que les énoncés et les renseignements
prospectifs se rapportent à des événements futurs ou au rendement
futur et reflètent les attentes ou les croyances actuelles
concernant des événements futurs, ils sont habituellement
identifiés par l'emploi de termes comme « prévoir »,
« croire », « pouvoir », « estimer »,
« s'attendre à », « avoir l'intention de »,
« planifier », « chercher à »,
« devoir », « probable »,
« stratégie », « futur » ou la forme négative
de ces termes ou d'autres variations de ceux‑ci laissant entendre
la possibilité de résultats futurs ou indiquant des énoncés
concernant des perspectives. Tous ces énoncés constituent des
« énoncés prospectifs » au sens des lois canadiennes sur
les valeurs mobilières applicables et des « énoncés
prospectifs » au sens des dispositions d'exonération de la
loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of
1995.
De par leur nature, les énoncés prospectifs nous
obligent à poser des hypothèses et sont assujettis à des risques et
incertitudes inhérents liés à notre activité, lesquels pourraient
faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement des
résultats escomptés dans les énoncés prospectifs. Bien que ces
énoncés soient fondés sur les attentes et les hypothèses de la
direction concernant les tendances historiques, les conditions
actuelles et les faits attendus dans l'avenir, ainsi que sur
d'autres facteurs que nous jugeons raisonnables et appropriés dans
les circonstances, nous avisons le lecteur de ne pas se fier outre
mesure aux énoncés prospectifs, puisqu'ils risquent de ne pas être
exacts. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué
représentent nos attentes en date du 13 août 2024 et, par
conséquent, peuvent changer après cette date. Sauf dans la mesure
prévue par la loi, nous rejetons toute intention ou
obligation d'actualiser ou de réviser l'un ou l'autre des énoncés
prospectifs, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements,
d'événements futurs ou d'autres facteurs. L'information et les
énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont
expressément visés par la présente mise en garde.
De plus, les énoncés comportant « à notre avis » ou
d'autres expressions semblables reflètent nos opinions sur un sujet
donné. Ces énoncés sont fondés sur l'information dont nous
disposions en date du présent communiqué. Bien que nous soyons
d'avis que cette information constitue un fondement raisonnable
à ces énoncés, elle peut être limitée ou incomplète. Nos
énoncés ne doivent pas être interprétés comme le reflet d'une
enquête exhaustive sur la totalité de l'information pertinente ou
d'un examen de toute cette information. Ces énoncés sont
intrinsèquement incertains, et les investisseurs sont priés de ne
pas s'y fier indûment. Sauf indication contraire de CAE,
les énoncés prospectifs ne tiennent pas compte de l'incidence
potentielle d'éventuels éléments exceptionnels ni des cessions,
monétisations, fusions, acquisitions, autres regroupements
d'entreprises ou autres transactions qui pourraient être annoncés
ou survenir après le 13 août 2024. Les répercussions
financières de ces transactions et de ces éléments exceptionnels
peuvent être complexes et dépendent des faits propres à chacun
d'eux. Nous ne pouvons donc pas décrire les répercussions prévues
de façon significative ou de la même façon que nous présentons les
risques connus qui touchent notre entreprise. Les énoncés
prospectifs sont présentés dans le présent communiqué dans le but
d'aider les investisseurs et d'autres parties à comprendre certains
éléments clés de nos résultats financiers attendus pour
l'exercice 2025 et à mieux comprendre l'environnement dans
lequel nous prévoyons exercer nos activités. Les lecteurs sont
avisés que cette information peut ne pas convenir à d'autres
fins.
Hypothèses importantes
Les énoncés
prospectifs dans le présent communiqué sont basés sur certaines
hypothèses, y compris, sans s'y limiter : la
conjoncture de marché, l'instabilité géopolitique, la réceptivité
des clients envers nos solutions de formation et de soutien
opérationnel, l'exactitude de nos estimations des marchés
potentiels et des occasions sur les marchés, la réalisation des
économies de coûts récurrentes annuelles prévues et des autres
avantages escomptés des initiatives de restructuration et des
programmes d'excellence opérationnelle, la capacité de répondre aux
pressions inflationnistes prévues et la capacité de compenser les
hausses des coûts au moyen de hausses des prix, l'incidence
réelle des perturbations logistiques de la chaîne
d'approvisionnement mondiale sur l'offre, les niveaux de production
et les coûts, la stabilité des taux de change, la capacité à
couvrir les risques liés aux fluctuations des taux d'intérêt et des
taux de change, la disponibilité d'emprunts sur lesquels effectuer
des prélèvements et l'utilisation d'une ou de plusieurs de nos
conventions de crédit de premier rang, les liquidités
disponibles provenant de notre trésorerie et de nos équivalents de
trésorerie, des montants non utilisés sur notre facilité de crédit
renouvelable, du solde disponible dans le cadre de notre facilité
d'achat de créances, l'hypothèse que nos flux de trésorerie
provenant des activités opérationnelles et l'accès continu au
financement par emprunt suffiront pour répondre aux besoins
financiers dans un avenir prévisible, l'accès aux ressources en
capital attendues dans les délais prévus, l'absence de
répercussions importantes d'ordre financier, opérationnel ou
concurrentiel découlant de modifications de la réglementation
touchant nos activités, notre capacité à conserver nos contrats et
à en obtenir de nouveaux, notre capacité à achever et à retirer de
manière efficace les anciens contrats tout en gérant les risques
qui y sont associés et notre capacité ainsi que notre capacité à
défendre notre position dans le processus de résolution de
différends contractuels avec l'acheteur de la division CAE Santé.
Le transport aérien est un moteur important de l'activité de CAE et
la direction s'appuie sur les analyses de l'Association du
transport aérien international (IATA) pour étayer ses hypothèses
sur le rythme et le profil de la reprise dans son principal marché
de l'aviation civile. Les hypothèses énoncées dans le présent
communiqué et, conséquemment, les énoncés prospectifs fondés sur
ces hypothèses pourraient donc être inexacts.
Risques importants
Les risques
importants, qui pourraient faire en sorte que les résultats ou
événements actuels diffèrent considérablement de ceux exprimés ou
sous-tendus dans nos énoncés prospectifs, sont mentionnés dans
le rapport de gestion de CAE pour l'exercice clos le
31 mars 2024 et dans son rapport de gestion pour le
trimestre clos le 30 juin 2024, disponibles sur notre
site Web (www.cae.com), sur SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et
sur EDGAR (www.sec.gov). Les lecteurs sont avisés que les
risques énoncés pourraient avoir des effets nuisibles importants
sur nos énoncés prospectifs. Nous devons souligner le fait que la
liste des facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres
facteurs pourraient également avoir des répercussions défavorables
sur nos résultats.
Mesures non conformes aux IFRS et autres
mesures financières
Le présent communiqué de presse comprend
des mesures financières non conformes aux IFRS, des ratios
non conformes aux IFRS, des mesures de gestion du capital et
des mesures financières supplémentaires. Ces mesures ne sont
pas des mesures financières normalisées en vertu des IFRS; le
lecteur doit donc se garder de les confondre avec les mesures du
rendement établies conformément aux IFRS ou de les substituer à
celles‑ci. En outre, il doit éviter de comparer ces mesures
aux mesures portant un nom similaire que fournissent ou utilisent
d'autres émetteurs. La direction estime que ces mesures sont des
indicateurs supplémentaires de notre rendement opérationnel et des
tendances en la matière, et qu'elles facilitent la comparaison
entre les périodes.
Certaines mesures non conformes aux IFRS et
autres mesures financières sont fournies à la fois sur une base
consolidée et séparément pour chacun de nos secteurs (Aviation
civile et Défense et Sécurité), car nous analysons leurs résultats
et leur rendement séparément.
Les calculs des mesures non conformes aux IFRS et
les rapprochements avec les mesures les plus directement
comparables selon les IFRS sont également présentés ci‑après à la
section « Calculs et rapprochements » du présent
communiqué.
Mesures du rendement
Marge opérationnelle (résultat opérationnel en
pourcentage des produits des activités ordinaires)
La marge
opérationnelle est une mesure financière supplémentaire qui
correspond au résultat opérationnel divisé par les produits des
activités ordinaires pour une période donnée. Nous en suivons
l'évolution, car nous trouvons qu'elle rehausse la compréhension de
notre performance opérationnelle et qu'elle facilite la comparaison
entre les périodes.
Résultat opérationnel sectoriel
ajusté
Le résultat opérationnel sectoriel ajusté est une
mesure financière non conforme aux IFRS qui donne une indication de
la rentabilité individuelle des secteurs puisqu'il exclut
l'incidence des éléments qui ne se rapportent pas directement à
leur rendement. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté
correspond au résultat opérationnel, ajusté par les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, ainsi que les
pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers.
Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers
sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu'il
est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés
pour l'exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de
valeur d'actifs technologiques et d'autres actifs non financiers
(tel qu'il est décrit à la note 5 de nos états financiers
consolidés pour l'exercice clos le 31 mars 2024) et de la
reprise de la perte de valeur d'actifs non financiers par suite de
leur réaffectation et optimisation (tel qu'il est décrit à la
note 5 de nos états financiers consolidés pour l'exercice clos
le 31 mars 2023). Nous suivons l'évolution du résultat
opérationnel sectoriel ajusté, car nous trouvons qu'il rehausse la
compréhension de notre performance opérationnelle et qu'il facilite
la comparaison entre les périodes. Le résultat opérationnel
sectoriel ajusté sur une base consolidée est un total des mesures
sectorielles, puisqu'il s'agit de la mesure de rentabilité
qu'utilise la direction pour prendre des décisions sur
l'attribution des ressources aux secteurs et évaluer la
performance sectorielle.
Marge opérationnelle sectorielle ajustée
(résultat opérationnel sectoriel ajusté en pourcentage des produits
des activités ordinaires)
La marge opérationnelle
sectorielle ajustée est un ratio non conforme aux IFRS qui
correspond au résultat opérationnel sectoriel ajusté divisé par les
produits des activités ordinaires pour une période donnée. Nous en
suivons l'évolution, car nous trouvons qu'elle rehausse la
compréhension de notre performance opérationnelle et qu'elle
facilite la comparaison entre les périodes.
Taux d'imposition effectif ajusté
Le
taux d'imposition effectif ajusté est une mesure financière
supplémentaire qui s'entend du taux d'imposition effectif sur le
résultat net ajusté. Il correspond à la charge d'impôt sur le
résultat, divisée par le résultat avant impôt sur le résultat,
ajusté en fonction des mêmes éléments utilisés dans le calcul
du résultat net ajusté. Nous en suivons l'évolution, car nous
trouvons qu'il rehausse la compréhension de l'incidence des
fluctuations des taux d'imposition et de la composition des revenus
sur notre performance opérationnelle et qu'il facilite la
comparaison entre les périodes.
Résultat net ajusté
Le résultat net
ajusté est une mesure financière non conforme aux IFRS que nous
utilisons comme mesure additionnelle de nos résultats
opérationnels. Il correspond au résultat net attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres de la Société au titre
des activités poursuivies, ajusté par les coûts de restructuration,
d'intégration et d'acquisition, ainsi que les pertes de valeur et
les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques
importantes ou d'événements particuliers, après impôt, de même
que les éléments fiscaux non récurrents importants. Les pertes de
valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions
stratégiques importantes ou d'événements particuliers sont
constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu'il est
décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés
pour l'exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de
valeur d'actifs technologiques et d'autres actifs
non financiers (tel qu'il est décrit à la note 5 de
nos états financiers consolidés pour l'exercice clos le
31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur
d'actifs non financiers par suite de leur réaffectation et
optimisation (tel qu'il est décrit à la note 5 de nos
états financiers consolidés pour l'exercice clos le 31 mars
2023). Nous suivons l'évolution du résultat net ajusté, car nous
trouvons qu'il rehausse la compréhension de notre performance
opérationnelle et qu'il facilite la comparaison entre les
périodes.
Résultat par action (RPA) ajusté
Le résultat par action ajusté est un ratio non conforme aux IFRS
qui correspond au résultat net ajusté divisé par le nombre moyen
pondéré dilué d'actions. Nous calculons ce ratio parce que nous
estimons qu'il rehausse la compréhension de notre performance
opérationnelle par action et qu'il facilite la comparaison entre
les périodes.
BAIIA et BAIIA ajusté
Le BAIIA est une
mesure financière non conforme aux IFRS qui correspond au résultat
net des activités poursuivies avant l'impôt sur le résultat, les
charges financières nettes et la dotation aux amortissements.
En outre, le BAIIA ajusté est ajusté par les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, ainsi que les
pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers.
Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers
sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu'il
est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés
pour l'exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de
valeur d'actifs technologiques et d'autres actifs non financiers
(tel qu'il est décrit à la note 5 de nos
états financiers consolidés pour l'exercice clos le
31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur
d'actifs non financiers par suite de leur réaffectation et
optimisation (tel qu'il est décrit à la note 5 de nos états
financiers consolidés pour l'exercice clos le 31 mars 2023).
Nous utilisons le BAIIA et le BAIIA ajusté pour évaluer notre
performance opérationnelle en éliminant l'incidence des éléments
hors exploitation ou hors trésorerie.
Flux de trésorerie disponibles
Les flux
de trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme
aux IFRS qui nous indique les sommes dont nous disposons pour
investir dans les occasions de croissance, rembourser notre dette
et nous acquitter de nos obligations financières courantes. C'est
un indicateur de notre santé financière et de notre liquidité qui
correspond aux flux de trésorerie nets liés aux activités
opérationnelles poursuivies, dont sont soustraits les dépenses
d'investissement en immobilisations liées à la maintenance, les
dépenses d'investissement en immobilisations incorporelles,
abstraction faite des frais de développement inscrits à l'actif,
les autres activités d'investissement sans lien avec la croissance,
ainsi que les dividendes versés et auxquels sont ajoutés le produit
de la cession d'immobilisations corporelles, les dividendes reçus
des participations mises en équivalence et le produit des
participations mises en équivalence, déduction faite des
paiements.
Mesures de la liquidité et de la structure du
capital
Rendement du capital utilisé (RCU)
ajusté
Le RCU ajusté est un ratio non conforme aux IFRS
calculé sur une période de quatre trimestres consécutifs en
divisant le résultat net des activités poursuivies attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres de la Société, ajusté
par les charges financières nettes, après impôt, les coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, ainsi que les
pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers,
par le montant moyen du capital utilisé des activités poursuivies.
Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de
transactions stratégiques importantes ou d'événements particuliers
sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu'il
est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés
pour l'exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de
valeur d'actifs technologiques et d'autres actifs non financiers
(tel qu'il est décrit à la note 5 de nos états financiers
consolidés pour l'exercice clos le 31 mars 2024) et de la
reprise de la perte de valeur d'actifs non financiers par suite de
leur réaffectation et optimisation (tel qu'il est décrit à la
note 5 de nos états financiers consolidés pour l'exercice clos
le 31 mars 2023). Nous utilisons le RCU ajusté pour évaluer la
rentabilité de notre capital investi.
Dette nette
La dette nette est une
mesure de gestion du capital qui nous indique à combien se monte
notre dette une fois pris en compte la trésorerie et les
équivalents de trésorerie. Elle nous indique quelle est globalement
notre situation financière. Elle correspond à la différence
entre le montant de la dette à long terme totale, partie courante
comprise, et le montant de la trésorerie et des équivalents
de trésorerie.
Ratio de la dette nette sur le BAIIA et ratio
de la dette nette sur le BAIIA ajusté
Le ratio de la dette
nette sur le BAIIA et le ratio de la dette nette sur le BAIIA
ajusté sont des ratios non conformes aux IFRS qui correspondent à
la dette nette divisée par le BAIIA (ou le BAIIA ajusté) des douze
derniers mois. Nous les utilisons parce qu'ils reflètent notre
capacité à respecter nos obligations en matière de dette.
Le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté,
abstraction faite des anciens contrats, exclut également
l'incidence de la constatation accélérée des risques à l'égard des
anciens contrats enregistrée au quatrième trimestre de
l'exercice 2024. Le ratio de la dette nette sur le BAIIA
ajusté, abstraction faite des anciens contrats, est également
pertinent pour mieux comprendre les détails et l'incidence de la
constatation accélérée des risques à l'égard des anciens contrats
sur notre capacité à respecter nos obligations en matière de
dette.
Dépenses d'investissement en immobilisations
liées à la croissance et à la maintenance
Les dépenses d'investissement en immobilisations liées à la
maintenance sont une mesure financière supplémentaire que nous
utilisons pour calculer les investissements devant être réalisés
pour maintenir les niveaux courants d'activité économique.
Les dépenses d'investissement en immobilisations liées à la
croissance sont une mesure financière supplémentaire que nous
utilisons pour calculer les investissements devant être réalisés
pour accroître les niveaux courants d'activité économique.
La somme des dépenses d'investissement en immobilisations
liées à la maintenance et à la croissance représente le total de
nos dépenses en immobilisations corporelles.
Mesures de la croissance
Prises de commandes ajustées
Les prises
de commandes ajustées sont une mesure financière supplémentaire qui
nous indique combien valent en principe les commandes que nous
avons reçues :
- Pour le secteur Aviation civile, nous considérons qu'un élément
fait partie des prises de commandes ajustées dès l'instant où nous
avons avec le client une entente commerciale ayant force
obligatoire définissant de façon suffisamment précise les
obligations respectives des parties pour constituer les bases d'un
contrat. Par ailleurs, les produits des activités ordinaires
attendus provenant des clients avec des contrats de formation à
court terme et à long terme sont inclus dès que nous avons de la
part de ces clients leur engagement à nous payer les honoraires de
formation, ou lorsque nous pouvons raisonnablement compter sur la
génération des produits des activités ordinaires;
- Pour le secteur Défense et Sécurité, nous considérons qu'un
élément fait partie des prises de commandes ajustées dès l'instant
où nous avons avec le client une entente commerciale ayant force
obligatoire définissant de façon suffisamment précise les
obligations respectives des parties pour constituer les bases d'un
contrat. Les contrats du secteur Défense et Sécurité sont
généralement réalisés sur une longue période, mais certains d'entre
eux doivent être renouvelés chaque année. Pour ce secteur, nous
n'inscrivons un élément d'un contrat dans les prises de commandes
ajustées que lorsque le client en a obtenu l'autorisation et le
financement.
Carnet de
commandes ajusté
Le carnet de commandes ajusté est une
mesure financière supplémentaire qui représente les produits des
activités ordinaires attendus et comprend les commandes engagées,
le carnet de commandes des coentreprises de même que les commandes
non financées et les options :
- Les commandes engagées nous indiquent à combien se montent les
commandes ajustées que nous avons reçues, mais que nous n'avons pas
encore exécutées. Elles correspondent à la somme des prises de
commandes ajustées de la période et du solde des commandes engagées
à la fin de l'exercice précédent, moins les produits des activités
ordinaires comptabilisés pour la période, plus ou moins les
ajustements du carnet de commandes. Si le montant d'une commande
déjà comptabilisé pour un exercice antérieur est modifié, le carnet
de commandes est ajusté;
- Le carnet de commandes des coentreprises se compose de
commandes engagées qui représentent la valeur prévue de notre
quote‑part des commandes qu'ont reçues les coentreprises, mais
qu'elles n'ont pas encore exécutées. Le carnet de commandes
des coentreprises est établi sur la même base que pour les
commandes engagées telle qu'elle est décrite ci‑dessus, mais il
exclut toute partie des commandes qui ont été directement
sous-traitées à une filiale de CAE, lesquelles sont déjà prises en
compte dans la détermination des commandes engagées;
- Les commandes non financées s'entendent des commandes ayant
force obligatoire du secteur Défense et Sécurité que nous avons
reçues du gouvernement des États‑Unis, mais que nous n'avons pas
encore exécutées et pour lesquelles l'autorisation de
financement n'a pas encore été obtenue. L'incertitude découle du
calendrier des autorisations de financement, qui dépend du cycle
budgétaire du gouvernement, lequel est fondé sur une fin d'exercice
en septembre. Le carnet de commandes ajusté tient compte des
options dont la probabilité d'exercice est élevée, que nous
définissons comme étant au moins 80 % probable, mais pas des
contrats à exécution indéterminée et à quantité indéterminée
(ID/IQ) à plusieurs soumissionnaires. Lorsqu'une option est
exercée, elle est inscrite dans les prises de commandes
ajustées de la période et est sortie des commandes non financées et
des options.
Ratio valeur comptable des
commandes/ventes
Le ratio valeur comptable des
commandes/ventes est une mesure financière supplémentaire qui
correspond aux prises de commandes ajustées divisées par les
produits des activités ordinaires pour une période donnée. Nous
l'utilisons pour surveiller le niveau de croissance future de
l'entreprise au fil du temps.
Définition des renseignements non financiers
supplémentaires
Simulateurs de vol (FFS) dans le réseau de
CAE
Un FFS est une reproduction en taille réelle d'un
cockpit d'avion d'une marque, d'un modèle et d'une série donnés,
qui comprend un système de mouvement. Habituellement, le nombre de
FFS dans le réseau n'inclut que les FFS haute fidélité et exclut
les dispositifs de formation fixes et les autres dispositifs de
niveau inférieur, car de tels dispositifs sont généralement
utilisés en plus des FFS dans le cadre des mêmes programmes de
formation autorisés.
Nombre équivalent de simulateurs
(NES)
Le NES est une mesure qui nous indique le nombre moyen
total de simulateurs de vol qui étaient en état de dégager des
résultats au cours de la période. Dans le cas d'un centre de
formation exploité en coentreprise à 50/50, nous ne prenons
en compte dans le NES que la moitié des simulateurs de vol
dans ce centre. Lorsqu'un simulateur de vol est retiré du service
pour être déménagé, il n'est pris en compte qu'une fois réinstallé
et en état de dégager des résultats.
Taux d'utilisation
Le taux
d'utilisation est une mesure que nous utilisons pour évaluer la
performance de notre réseau de simulateurs du secteur Aviation
civile. Bien que ce taux n'ait pas de corrélation exacte avec les
produits des activités ordinaires comptabilisés, nous l'utilisons,
parallèlement à d'autres mesures, puisque nous sommes d'avis qu'il
s'agit d'un indicateur de notre rendement opérationnel. Il
correspond au nombre d'heures de formation vendues sur nos
simulateurs pour la période, divisé par la capacité de formation
pratique disponible pour cette même période.
Calculs et rapprochements
Rapprochement du résultat opérationnel
sectoriel ajusté
(montants en millions)
|
Aviation
civile
|
|
Défense et
Sécurité
|
|
Total
|
Trimestres clos les
30 juin
|
2024
|
|
2023
|
|
2024
|
|
2023
|
|
2024
|
|
2023
|
|
Résultat
opérationnel
|
89,8
|
$
|
105,6
|
$
|
18,8
|
$
|
22,7
|
$
|
108,6
|
$
|
128,3
|
$
|
Coûts de
restructuration, d'intégration
et d'acquisition
|
16,6
|
|
13,4
|
|
9,0
|
|
1,6
|
|
25,6
|
|
15,0
|
|
Résultat opérationnel
sectoriel ajusté
|
106,4
|
$
|
119,0
|
$
|
27,8
|
$
|
24,3
|
$
|
134,2
|
$
|
143,3
|
$
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Rapprochement du résultat net ajusté et du RPA
ajusté
|
Trimestres clos les
30 juin
|
|
(montants en millions, sauf les montants par
action)
|
2024
|
|
2023
|
|
Résultat net
attribuable aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
48,3
|
$
|
65,3
|
$
|
Résultat net des
activités abandonnées
|
--
|
|
(0,5)
|
|
Coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition, après
impôt
|
19,5
|
|
11,5
|
|
Résultat net
ajusté
|
67,8
|
$
|
76,3
|
$
|
|
|
|
|
|
Nombre moyen d'actions
en circulation (dilué)
|
318,8
|
|
318,8
|
|
|
|
|
|
|
RPA ajusté
|
0,21
|
$
|
0,24
|
$
|
Calcul du taux d'imposition effectif
ajusté
|
Trimestres clos les
30 juin
|
|
(montants en millions, sauf les taux d'imposition
effectifs)
|
2024
|
|
2023
|
|
Résultat avant impôt
sur le résultat
|
59,1
|
$
|
75,2
|
$
|
Coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition
|
25,6
|
|
15,0
|
|
Résultat avant impôt
sur le résultat ajusté
|
84,7
|
$
|
90,2
|
$
|
|
|
|
|
|
Charge d'impôt sur le
résultat
|
8,3
|
$
|
7,9
|
$
|
Incidence fiscale sur
les coûts de restructuration, d'intégration et
d'acquisition
|
6,1
|
|
3,5
|
|
Charge d'impôt sur le
résultat ajustée
|
14,4
|
$
|
11,4
|
$
|
|
|
|
|
|
Taux d'imposition
effectif
|
14
|
%
|
11
|
%
|
Taux d'imposition
effectif ajusté
|
17
|
%
|
13
|
%
|
Rapprochement des flux de trésorerie
disponibles
|
Trimestres clos les
30 juin
|
|
(montants en millions)
|
2024
|
|
2023
|
|
Flux de trésorerie liés
aux activités opérationnelles*
|
127,2
|
$
|
130,4
|
$
|
Variation du fonds de
roulement hors trésorerie
|
(140,1)
|
|
(179,7)
|
|
Flux de trésorerie nets
liés aux activités opérationnelles
|
(12,9)
|
$
|
(49,3)
|
$
|
Dépenses
d'investissement en immobilisations liées à la
maintenance
|
(19,9)
|
|
(35,7)
|
|
Variation des actifs de
gestion des ressources d'entreprise et des autres actifs
|
(5,1)
|
|
(17,2)
|
|
Produit de la cession
d'immobilisations corporelles
|
1,7
|
|
3,4
|
|
Produit net tiré des
(paiements nets versés aux) participations mises en
équivalence
|
0,1
|
|
(12,7)
|
|
Dividendes reçus des
participations mises en équivalence
|
10,5
|
|
6,6
|
|
Autres activités
d'investissement
|
0,3
|
|
--
|
|
Incidence des activités
abandonnées
|
--
|
|
(5,4)
|
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
(25,3)
|
$
|
(110,3)
|
$
|
* avant variation du
fonds de roulement hors trésorerie
|
|
|
|
|
Rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du
ratio de la dette nette sur le BAIIA et du ratio de la dette nette
sur le BAIIA ajusté
|
Périodes de douze mois
closes les 30 juin
|
|
(montants en millions, sauf les ratios de la dette
nette sur le BAIIA)
|
2024
|
|
2023
|
|
Résultat
opérationnel
|
(205,1)
|
$
|
549,2
|
$
|
Dotation aux
amortissements
|
376,7
|
|
340,6
|
|
BAIIA
|
171,6
|
$
|
889,8
|
$
|
Coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition
|
142,0
|
|
57,3
|
|
Pertes de valeur et
autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques
importantes
ou d'événements particuliers
|
|
|
|
|
Perte de valeur du
goodwill
|
568,0
|
|
--
|
|
Perte de valeur de
technologies et d'autres actifs financiers
|
35,7
|
|
--
|
|
Reprise de la perte de
valeur d'actifs non financiers par suite de leur réaffectation
et optimisation
|
--
|
|
9,8
|
|
BAIIA ajusté
|
917,3
|
$
|
956,9
|
$
|
|
|
|
|
|
Dette nette
|
3 129,7
|
$
|
3 166,4
|
$
|
|
|
|
|
|
Ratio de la dette nette
sur le BAIIA
|
18,24
|
|
3,56
|
|
Ratio de la dette nette
sur le BAIIA ajusté
|
3,41
|
|
3,31
|
|
|
Périodes de douze mois
closes les 30 juin
|
|
(montants en millions, sauf les ratios de la dette
nette sur le BAIIA)
|
2024
|
|
2023
|
|
BAIIA ajusté
|
917,3
|
$
|
956,9
|
$
|
Incidence de la
constatation accélérée des risques à l'égard des anciens
contrats
|
90,3
|
|
--
|
|
BAIIA ajusté,
abstraction faite des anciens contrats
|
1 007,6
|
$
|
956,9
|
$
|
|
|
|
|
|
Ratio de la dette nette
sur le BAIIA ajusté, abstraction faite des anciens
contrats
|
3,11
|
|
3,31
|
|
Rapprochement du capital utilisé et de la
dette nette
(montants en millions)
|
30 juin
2024
|
|
31 mars
2024
|
|
Utilisation du capital :
|
|
|
|
|
Actifs
courants
|
2 054,9
|
$
|
2 006,5
|
$
|
Déduire :
trésorerie et équivalents de trésorerie
|
(143,2)
|
|
(160,1)
|
|
Passifs
courants
|
(2 310,8)
|
|
(2 358,4)
|
|
Déduire : partie
courante de la dette à long terme
|
312,1
|
|
308,9
|
|
Fonds de roulement hors
trésorerie
|
(87,0)
|
$
|
(203,1)
|
$
|
Immobilisations
corporelles
|
2 579,6
|
|
2 515,6
|
|
Immobilisations
incorporelles
|
3 294,1
|
|
3 271,9
|
|
Autres actifs non
courants
|
2 128,3
|
|
2 040,1
|
|
Autres passifs non
courants
|
(376,6)
|
|
(407,7)
|
|
Capital
utilisé
|
7 538,4
|
$
|
7 216,8
|
$
|
Provenance du capital :
|
|
|
|
|
Partie courante de la
dette à long terme
|
312,1
|
$
|
308,9
|
$
|
Dette à long
terme
|
2 960,8
|
|
2 765,4
|
|
Déduire :
trésorerie et équivalents de trésorerie
|
(143,2)
|
|
(160,1)
|
|
Dette nette
|
3 129,7
|
$
|
2 914,2
|
$
|
Capitaux propres
attribuables aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
4 328,0
|
|
4 224,9
|
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
80,7
|
|
77,7
|
|
Capital
utilisé
|
7 538,4
|
$
|
7 216,8
|
$
|
Pour les mesures non conformes aux IFRS et autres
mesures financières surveillées par CAE, et pour un rapprochement
de telles mesures et des mesures définies par les IFRS les plus
directement comparables, veuillez vous reporter à la
section 11 du rapport de gestion de CAE pour le trimestre clos
le 30 juin 2024 (intégré par renvoi dans le présent
communiqué) qui est disponible sur notre site Web
(www.cae.com), sur celui de SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et sur
celui d'EDGAR (www.sec.gov).
État consolidé du résultat net
(Non
audité)
|
|
Trimestres clos
les
30 juin
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens,
sauf les montants par action)
|
|
2024
|
|
2023
|
|
Activités
poursuivies
|
|
|
|
|
|
Produits des activités
ordinaires
|
|
1 072,5
|
$
|
1 012,0
|
$
|
Coût des
ventes
|
|
793,8
|
|
726,3
|
|
Marge
brute
|
|
278,7
|
$
|
285,7
|
$
|
Frais de recherche et
de développement
|
|
35,9
|
|
36,7
|
|
Frais de vente,
généraux et d'administration
|
|
133,5
|
|
123,7
|
|
Autres (profits) et
pertes
|
|
(0,9)
|
|
(1,4)
|
|
Quote-part du résultat
net après impôt des participations
mises en équivalence
|
|
(24,0)
|
|
(16,6)
|
|
Coûts de
restructuration, d'intégration et d'acquisition
|
|
25,6
|
|
15,0
|
|
Résultat
opérationnel
|
|
108,6
|
$
|
128,3
|
$
|
Charges financières -
montant net
|
|
49,5
|
|
53,1
|
|
Résultat avant impôt
sur le résultat
|
|
59,1
|
$
|
75,2
|
$
|
Charge d'impôt sur le
résultat
|
|
8,3
|
|
7,9
|
|
Résultat net des
activités poursuivies
|
|
50,8
|
$
|
67,3
|
$
|
Résultat net des
activités abandonnées
|
|
--
|
|
0,5
|
|
Résultat
net
|
|
50,8
|
$
|
67,8
|
$
|
Attribuable aux
:
|
|
|
|
|
|
Détenteurs
d'instruments de capitaux propres de la Société
|
|
48,3
|
$
|
65,3
|
$
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
|
2,5
|
|
2,5
|
|
Résultat par action
attribuable aux détenteurs d'instruments de
|
|
|
|
|
|
capitaux propres de
la Société
|
|
|
|
|
|
De base et dilué -
activités poursuivies
|
|
0,15
|
$
|
0,20
|
$
|
De base et dilué -
activités abandonnées
|
|
--
|
|
--
|
|
État consolidé du résultat global
(Non
audité)
|
|
Trimestres clos
les
30 juin
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens)
|
|
2024
|
|
2023
|
|
Résultat net des
activités poursuivies
|
|
50,8
|
$
|
67,3
|
$
|
Éléments pouvant
être reclassés en résultat net
|
|
|
|
|
|
Écarts de conversion
liés aux opérations à l'étranger
|
|
51,5
|
$
|
(96,2)
|
$
|
(Perte) gain sur les
couvertures d'investissements nets dans des
opérations à l'étranger - montant net
|
|
(19,1)
|
|
27,5
|
|
Reclassement au
résultat net du gain sur les écarts de conversion
|
|
(0,1)
|
|
(0,1)
|
|
(Perte) gain sur les
couvertures de flux de trésorerie - montant net
|
|
(6,8)
|
|
13,4
|
|
Reclassement au
résultat net de la perte sur les couvertures de
flux de trésorerie
|
|
3,3
|
|
0,6
|
|
Impôt sur le
résultat
|
|
(1,0)
|
|
(7,3)
|
|
|
|
27,8
|
$
|
(62,1)
|
$
|
Éléments qui ne
seront jamais reclassés en résultat net
|
|
|
|
|
|
Réévaluations des
obligations au titre des régimes de retraite à
prestations définies
|
|
2,3
|
$
|
(21,4)
|
$
|
Impôt sur le
résultat
|
|
(0,6)
|
|
5,7
|
|
|
|
1,7
|
$
|
(15,7)
|
$
|
Autres éléments du
résultat global des activités poursuivies
|
|
29,5
|
$
|
(77,8)
|
$
|
Résultat net des
activités abandonnées
|
|
--
|
|
0,5
|
|
Autres éléments du
résultat global des activités abandonnées
|
|
--
|
|
(1,6)
|
|
Total du résultat
global
|
|
80,3
|
$
|
(11,6)
|
$
|
Attribuable aux
:
|
|
|
|
|
|
Détenteurs
d'instruments de capitaux propres de la Société
|
|
77,3
|
$
|
(12,8)
|
$
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
|
3,0
|
|
1,2
|
|
État consolidé de la situation financière
(Non
audité)
|
30
juin
|
31
mars
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens)
|
2024
|
|
2024
|
|
Actif
|
|
|
|
|
Trésorerie et
équivalents de trésorerie
|
143,2
|
$
|
160,1
|
$
|
Créances
clients
|
582,2
|
|
624,7
|
|
Actifs sur
contrat
|
543,5
|
|
537,6
|
|
Stocks
|
634,8
|
|
573,6
|
|
Acomptes
|
88,7
|
|
68,0
|
|
Impôt sur le résultat à
recouvrer
|
55,0
|
|
35,3
|
|
Actifs financiers
dérivés
|
7,5
|
|
7,2
|
|
Total de l'actif
courant
|
2 054,9
|
$
|
2 006,5
|
$
|
Immobilisations
corporelles
|
2 579,6
|
|
2 515,6
|
|
Actifs au titre des
droits d'utilisation
|
613,3
|
|
545,8
|
|
Immobilisations
incorporelles
|
3 294,1
|
|
3 271,9
|
|
Investissement dans les
participations mises en équivalence
|
606,9
|
|
588,8
|
|
Actifs au titre des
avantages du personnel
|
63,9
|
|
65,7
|
|
Actifs d'impôt
différé
|
239,8
|
|
233,3
|
|
Actifs financiers
dérivés
|
3,9
|
|
4,2
|
|
Autres actifs non
courants
|
600,5
|
|
602,3
|
|
Total de
l'actif
|
10 056,9
|
$
|
9 834,1
|
$
|
|
|
|
|
|
Passif et capitaux
propres
|
|
|
|
|
Dettes fournisseurs et
charges à payer
|
944,6
|
$
|
1 035,3
|
$
|
Provisions
|
41,3
|
|
42,6
|
|
Impôt sur le résultat à
payer
|
26,5
|
|
31,1
|
|
Passifs sur
contrat
|
946,9
|
|
911,7
|
|
Partie courante de la
dette à long terme
|
312,1
|
|
308,9
|
|
Passifs financiers
dérivés
|
39,4
|
|
28,8
|
|
Total du passif
courant
|
2 310,8
|
$
|
2 358,4
|
$
|
Provisions
|
12,1
|
|
14,0
|
|
Dette à long
terme
|
2 960,8
|
|
2 765,4
|
|
Obligations au titre
des redevances
|
67,6
|
|
74,4
|
|
Obligations au titre
des avantages du personnel
|
97,8
|
|
98,7
|
|
Passifs d'impôt
différé
|
39,0
|
|
36,6
|
|
Passifs financiers
dérivés
|
3,4
|
|
2,9
|
|
Autres passifs non
courants
|
156,7
|
|
181,1
|
|
Total du
passif
|
5 648,2
|
$
|
5 531,5
|
$
|
Capitaux
propres
|
|
|
|
|
Capital-actions
|
2 274,8
|
$
|
2 252,9
|
$
|
Surplus
d'apport
|
67,7
|
|
55,4
|
|
Cumul des autres
éléments du résultat global
|
181,3
|
|
154,0
|
|
Résultats non
distribués
|
1 804,2
|
|
1 762,6
|
|
Capitaux propres
attribuables aux détenteurs d'instruments de
|
|
|
|
|
capitaux propres
de la Société
|
4 328,0
|
$
|
4 224,9
|
$
|
Participations ne
donnant pas le contrôle
|
80,7
|
|
77,7
|
|
Total des capitaux
propres
|
4 408,7
|
$
|
4 302,6
|
$
|
Total du passif et
des capitaux propres
|
10 056,9
|
$
|
9 834,1
|
$
|
État consolidé des variations des capitaux
propres
(Non
audité)
|
Attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
|
|
|
|
|
Trimestre clos le
30 juin 2024
|
Actions
ordinaires
|
|
|
Cumul des
autres
|
|
|
|
|
Participations
|
Total
des
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens,
|
Nombre
|
|
Valeur
|
|
Surplus
|
éléments du
|
Résultats
non
|
|
|
ne donnant
|
capitaux
|
|
sauf les nombres
d'actions)
|
d'actions
|
|
attribuée
|
|
d'apport
|
résultat
global
|
distribués
|
|
Total
|
pas le
contrôle
|
propres
|
|
Soldes au
31 mars 2024
|
318 312 233
|
|
2 252,9
|
$
|
55,4
|
$
|
154,0
|
$
|
1 762,6
|
$
|
4 224,9
|
$
|
77,7
|
$
|
4 302,6
|
$
|
Résultat net
|
--
|
|
--
|
$
|
--
|
$
|
--
|
$
|
48,3
|
$
|
48,3
|
$
|
2,5
|
$
|
50,8
|
$
|
Autres éléments du
résultat global
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
27,3
|
|
1,7
|
|
29,0
|
|
0,5
|
|
29,5
|
|
Total du résultat
global
|
--
|
|
--
|
$
|
--
|
$
|
27,3
|
$
|
50,0
|
$
|
77,3
|
$
|
3,0
|
$
|
80,3
|
$
|
Exercice d'options sur
actions
|
965 075
|
|
24,2
|
|
(3,0)
|
|
--
|
|
--
|
|
21,2
|
|
--
|
|
21,2
|
|
Règlement des
attributions réglées en instruments
de capitaux
propres
|
34 917
|
|
1,0
|
|
(1,0)
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
Rachat et annulation
d'actions ordinaires
|
(463 500)
|
|
(3,3)
|
|
--
|
|
--
|
|
(8,4)
|
|
(11,7)
|
|
--
|
|
(11,7)
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions
réglés en instruments
de capitaux propres
|
--
|
|
--
|
|
16,3
|
|
--
|
|
--
|
|
16,3
|
|
--
|
|
16,3
|
|
Soldes au
30 juin 2024
|
318 848 725
|
|
2 274,8
|
$
|
67,7
|
$
|
181,3
|
$
|
1 804,2
|
$
|
4 328,0
|
$
|
80,7
|
$
|
4 408,7
|
$
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Attribuable aux
détenteurs d'instruments de capitaux propres de la
Société
|
|
|
|
|
|
Trimestre clos le
30 juin 2023
|
Actions
ordinaires
|
|
|
Cumul des
autres
|
|
|
|
|
Participations
|
Total des
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens,
|
Nombre
|
|
Valeur
|
|
Surplus
|
éléments
du
|
Résultats
non
|
|
|
ne donnant
|
capitaux
|
|
sauf les nombres
d'actions)
|
d'actions
|
|
attribuée
|
|
d'apport
|
résultat
global
|
distribués
|
|
Total
|
pas le
contrôle
|
propres
|
|
Soldes au
31 mars 2023
|
317 906 290
|
|
2 243,6
|
$
|
42,1
|
$
|
167,2
|
$
|
2 054,8
|
$
|
4 507,7
|
$
|
81,2
|
$
|
4 588,9
|
$
|
Résultat net
|
--
|
|
--
|
$
|
--
|
$
|
--
|
$
|
65,3
|
$
|
65,3
|
$
|
2,5
|
$
|
67,8
|
$
|
Autres éléments du
résultat global
|
--
|
|
--
|
|
--
|
|
(62,4)
|
|
(15,7)
|
|
(78,1)
|
|
(1,3)
|
|
(79,4)
|
|
Total du résultat
global
|
--
|
|
--
|
$
|
--
|
$
|
(62,4)
|
$
|
49,6
|
$
|
(12,8)
|
$
|
1,2
|
$
|
(11,6)
|
$
|
Exercice d'options sur
actions
|
200 413
|
|
4,0
|
|
(0,6)
|
|
--
|
|
--
|
|
3,4
|
|
--
|
|
3,4
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions
réglés en
instruments de capitaux propres
|
--
|
|
--
|
|
0,9
|
|
--
|
|
--
|
|
0,9
|
|
--
|
|
0,9
|
|
Soldes au 30 juin
2023
|
318 106 703
|
|
2 247,6
|
$
|
42,4
|
$
|
104,8
|
$
|
2 104,4
|
$
|
4 499,2
|
$
|
82,4
|
$
|
4 581,6
|
$
|
Tableau consolidé des flux de trésorerie
(Non
audité)
|
|
|
|
Trimestres clos les
30 juin
|
|
|
|
(montants en
millions de dollars canadiens)
|
|
|
|
2024
|
|
2023
|
|
|
Activités
opérationnelles
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Résultat net
|
|
|
|
50,8
|
$
|
67,8
|
$
|
|
Ajustements pour
:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Dotation aux
amortissements
|
|
|
|
97,8
|
|
92,2
|
|
|
Quote-part du résultat
net après impôt des participations
mises en équivalence
|
|
|
|
(24,0)
|
|
(16,6)
|
|
|
Impôt sur le résultat
différé
|
|
|
|
(5,6)
|
|
(14,7)
|
|
|
Crédits d'impôt à
l'investissement
|
|
|
|
(5,0)
|
|
2,2
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charge liée aux
paiements fondés sur des actions réglée en
instruments de capitaux propres
|
|
|
|
16,3
|
|
0,9
|
|
|
Régimes de retraite à
prestations définies
|
|
|
|
3,1
|
|
(1,4)
|
|
|
Autres passifs non
courants
|
|
|
|
(2,6)
|
|
(2,4)
|
|
|
Actifs et passifs
financiers dérivés - montant net
|
|
|
|
2,2
|
|
(8,4)
|
|
|
Autres
|
|
|
|
(5,8)
|
|
10,8
|
|
|
Variation du fonds de
roulement hors trésorerie
|
|
|
|
(140,1)
|
|
(179,7)
|
|
|
Flux de trésorerie
nets liés aux activités opérationnelles
|
|
|
|
(12,9)
|
$
|
(49,3)
|
$
|
|
Activités
d'investissement
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Dépenses en
immobilisations corporelles
|
|
|
|
(92,6)
|
$
|
(90,6)
|
$
|
|
Produit de la cession
d'immobilisations corporelles
|
|
|
|
1,7
|
|
3,4
|
|
|
Dépenses en
immobilisations incorporelles
|
|
|
|
(28,6)
|
|
(39,8)
|
|
|
Paiements nets reçus
des (versés aux) participations mises
en équivalence
|
|
|
|
0,1
|
|
(12,7)
|
|
|
Dividendes reçus des
participations mises en équivalence
|
|
|
|
10,5
|
|
6,6
|
|
|
Autres
|
|
|
|
0,3
|
|
--
|
|
|
Flux de trésorerie
nets liés aux activités d'investissement
|
|
|
|
(108,6)
|
$
|
(133,1)
|
$
|
|
Activités de
financement
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Produit net tiré des
(remboursement net sur les) prélèvements
aux termes des facilités de crédit renouvelables
|
|
|
|
119,6
|
$
|
(249,2)
|
$
|
|
Produit tiré de la
dette à long terme
|
|
|
|
10,5
|
|
408,5
|
|
|
Remboursement sur la
dette à long terme
|
|
|
|
(25,1)
|
|
(26,5)
|
|
|
Remboursement sur les
obligations locatives
|
|
|
|
(13,8)
|
|
(14,8)
|
|
|
Produit net de
l'émission d'actions ordinaires
|
|
|
|
21,2
|
|
3,4
|
|
|
Rachat et annulation
d'actions ordinaires
|
|
|
|
(11,7)
|
|
--
|
|
|
Flux de trésorerie
nets liés aux activités de financement
|
|
|
|
100,7
|
$
|
121,4
|
$
|
|
Incidence des écarts
de conversion sur la trésorerie
et les
équivalents de trésorerie
|
|
|
|
3,9
|
$
|
(3,8)
|
$
|
|
Diminution nette de
la trésorerie et des équivalents de trésorerie
|
|
|
|
(16,9)
|
$
|
(64,8)
|
$
|
|
Trésorerie et
équivalents de trésorerie à l'ouverture de la
période
|
|
|
|
160,1
|
|
217,6
|
|
|
Trésorerie et
équivalents de trésorerie à la clôture de la période
|
|
|
|
143,2
|
$
|
152,8
|
$
|
|
Personnes-ressources
Médias
Samantha
Golinski
Vice-présidente, Affaires publiques et Communications mondiales
+1 438-805-5856, samantha.golinski@cae.com
Relations avec les
investisseurs
Andrew
Arnovitz
Vice-président principal, Relations avec les investisseurs et
Gestion du risque d'entreprise
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SOURCE CAE inc.