Iqirvo® (elafibranor) montre des données d’efficacité et de
tolérance sur une période allant jusqu’à trois ans chez les
patients atteints de CBP avec une amélioration de la fatigue et du
prurit
- Ipsen met
en avant 3 nouvelles présentations ainsi que 8 abstracts dans le
cadre de son portefeuille de maladies cholestatiques rares du foie
au congrès 2024 de l’AASLD.
-
L’utilisation d’Iqirvo a été approuvée aux États-Unis
en juin 2024, dans l’UE en septembre 2024 et au Royaume-Uni en
octobre 2024.
PARIS, FRANCE, le 15 novembre
2024 Ipsen (Euronext : IPN ; ADR : IPSEY) a
annoncé aujourd’hui que les dernières données concernant Iqirvo®
(elafibranor 80 mg comprimés), issues d’une analyse intermédiaire
de l’étude d’extension ouverte en cours de l’essai de Phase III
ELATIVE®, seront présentées au congrès de l’American
Association for the Study of Liver Disease (AASLD). Les
présentations qui seront exposées pour la première fois (abstract
n°5041 et abstract n°5042) concernent les biomarqueurs de la
cholestase, la stabilisation des marqueurs de substitution de la
fibrose hépatique et les données sur le prurit modéré à sévère, sur
une période allant jusqu’à trois ans chez les patients traités par
Iqirvo. Les critères d’évaluation exploratoires concernant la
fatigue et le sommeil ont été évalués à l’aide de plusieurs outils
utilisant les résultats rapportés par les patients.
« Sur une période de trois ans, les données
d’Iqirvo suggèrent une efficacité soutenue et corroborent le profil
de tolérance du médicament. En outre, et c’est particulièrement
important pour moi en tant que médecin, les patients me rapportent
qu’ils sont moins affectés par les démangeaisons et la fatigue, » a
déclaré le Dr. Kris Kowdley, Directeur au Liver Institute Northwest
à Washington, l’un des investigateurs principaux de l’étude
ELATIVE. « Le traitement par Iqirvo a eu un impact sur les
symptômes du prurit et sur les marqueurs de substitution de la
fibrose. Il s’agit de conclusions majeures pour les personnes
vivant avec la CBP. »
« La fatigue fait partie des symptômes
couramment signalés par les personnes vivant avec la CBP, et elle
est particulièrement difficile à gérer, » a déclaré le Dr.
Mark Swain, Département de médecine, Cumming School of Medicine,
Université de Calgary, Canada. « Les patients traités par
Iqirvo ont indiqué une amélioration au niveau de la fatigue et du
sommeil, via plusieurs mesures de résultats rapportés par ces
derniers. »
L’étude d’extension ouverte portait sur
138 patients ayant terminé la période en double aveugle de
l’étude de Phase III ELATIVE®.1 Cette analyse
intermédiaire a été réalisée après une année minimum de traitement
par Iqirvo dans l’étude d’extension ouverte (jusqu'à trois années
au total). Chez les patients recevant durant trois années continues
le traitement par Iqirvo au cours de la période en double aveugle
et de l’étude d’extension ouverte (n = 13), 85 % ont observé une
réponse biochimique (n = 11/13 ; ALP <1,67 x ULN, avec une
réduction ≥ 15 % par rapport au début de la période d’étude et un
taux de bilirubine totale ≤ ULN) et 39 % ont atteint une
normalisation du taux d’ALP (n = 5/13) à la semaine 156. Les
marqueurs de substitution de la stabilisation de la fibrose
hépatique, les mesures de la rigidité du foie (n = 23) et les
scores d’amélioration de la fibrose hépatique (ELF™) (n = 19),
suggèrent une stabilisation lorsqu’ils sont mesurés entre le début
de la période d’étude et la semaine 130. Chez les patients recevant
Iqirvo en continu pendant une période allant jusqu’à 156 semaines,
l’amélioration du prurit a été soutenue pour les patients
présentant un prurit modéré à sévère au début de la période d’étude
(n = 5).
Aucun nouveau résultat en matière de sécurité
n’a été observé. Les effets indésirables apparus pendant le
traitement (<10 pour cent) le plus fréquemment chez les patients
traités par Iqirvo par rapport au placebo, au cours de la période
en double aveugle de l’essai (douleurs abdominales, diarrhée,
nausées et vomissements), ont également été signalés dans l’étude
d’extension ouverte.
L’impact d’Iqirvo sur la fatigue et le sommeil a
également été étudié en tant que critère d'évaluation exploratoire
dans l’étude d’extension ouverte.2 L’évolution de la
fatigue ou de la somnolence (y compris le sommeil normal) a été
évaluée entre le début de la période d’étude et la semaine 104, en
examinant les différences minimes cliniquement importantes et les
changements catégoriques (n = 48). Des améliorations de la fatigue
et du sommeil chez les patients traités par Iqirvo (n = 10/18) ont
été observées à la semaine 104 via trois outils utilisant les
résultats rapportés par les patients. Chez les patients présentant
une fatigue modérée à sévère ou une somnolence excessive au début
de la période d’étude, des améliorations cliniquement
significatives ont été observées après 104 semaines de traitement
par Iqirvo chez 56 % de ces patients (n = 18) d’après le formulaire
abrégé sur la fatigue (« Fatigue Short Form 7a ») de
l’outil PRO Measurement Information System (PROMIS), 50 % (n =
24) de ces patients d’après la section relative à la fatigue du
questionnaire « PBC-40 », et 69 % (n = 16) de ces
patients selon l’échelle de somnolence d’Epworth (Epworth
Sleepiness Scale - ESS). Il s’agit de données provisoires qui n’ont
pas été soumises aux agences de réglementation. Une étude de
confirmation d’Iqirvo est en cours (NCT06016842).
« Les personnes atteintes de CBP nous
disent à quel point cette maladie peut être dévastatrice pour les
patients et leurs familles, » a déclaré Sandra Silvestri,
Vice-Présidente Exécutive et Chief Medical Officer d’Ipsen. « Des
données comme celles-ci apportent aux prescripteurs d’autres
arguments solides en faveur d’Iqirvo. En tant que PPAR premier de
sa classe approuvé pour le traitement de la CBP, Iqirvo est en
passe de devenir le traitement de choix pour les patients atteints
de CBP. Ipsen s’engage à être un acteur de référence sur lequel la
communauté des pathologies rares du foie peut compter. »
À propos de la cholangite biliaire
primitive (CBP)
La CBP est une maladie cholestatique auto-immune rare du foie, dans
laquelle une accumulation de bile et de toxines (cholestase) et une
inflammation chronique provoquent une fibrose irréversible
(cicatrisation) du foie et la destruction des canaux biliaires.
Environ 100 000 personnes sont touchées aux États-Unis,3
dont une majorité de femmes. Cette maladie chronique peut
s’aggraver en l’absence de traitement efficace, conduisant à une
transplantation hépatique et dans certains cas, à un décès
prématuré. Les symptômes de la CBP peuvent également affecter
lourdement la vie quotidienne des patients.
Posters Iqirvo (elafibranor) présentés au
congrès de l’AASLD
Poster ou Oral N° |
Intitulé complet |
Auteurs |
Poster, Abstract [5041]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Efficacité et sécurité à long terme d'elafibranor dans la
cholangite biliaire primitive :
Résultats intermédiaires de l'extension ouverte de l'essai ELATIVE®
jusqu'à 3 ans |
Kris V. Kowdley et
al. |
Poster, Abstract [5042]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Impact d'elafibranor sur la fatigue chez les patients atteints de
cholangite biliaire primitive :
Résultats intermédiaires de l'extension ouverte à long terme de
l'étude ELATIVE® |
Mark Swain et al.
|
Poster, Abstract [4274]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Au-delà de la moyenne : Exploration de l'impact des niveaux de base
des phosphatases alcalines sur les critères d'évaluation dans la
cholangite biliaire primitive |
Cynthia Levy et
al. |
Oral, Abstract Parallel, ePoster [43]
Lundi 18 novembre
11h00–11h15
Human Cholestatic, PBC and other Biliary Disorders in Children
and Adults |
Le traitement d'un an par elafibranor dans l'essai de phase III
ELATIVE® améliore les scores pronostiques GLOBE et UK-PBC |
Kris V. Kowdley et
al. |
Poster, Abstract [4292]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Utilisation de modèles d'apprentissage automatique pour stratifier
les réponses au traitement de première intention de la cholangite
biliaire primitive (CBP) par l'acide ursodésoxycholique (UDCA) |
Seema T. Meloni et al.
|
Poster, Abstract [4349]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Elafibranor n'a pas d'impact sur les marqueurs de la fonction
rénale dans la cholangite biliaire primitive : résultats de l'étude
de phase III ELATIVE®. |
Marcelo Kugelmas et
al. |
Poster, Abstract [4358]
Lundi 18 novembre
13h00–14h00
Présentation de poster - Session IV |
Poids économique des patients atteints de cholangite biliaire
primitive et souffrant de fatigue ou de prurit aux États-Unis |
Nisreen Shamseddine et
al. |
À propos d’Iqirvo®
(elafibranor) 80 mg comprimé
Iqirvo est un agoniste des récepteurs activés par les
proliférateurs de peroxysomes (PPAR), administré par voie orale une
fois par jour, qui est indiqué pour le traitement de la cholangite
biliaire primitive (CBP) en association avec l’acide
ursodésoxycholique (AUDC) chez l’adulte présentant une réponse
inadéquate à l’AUDC, ou en monothérapie chez les patients
intolérants à l’AUDC. Bien que le mécanisme n’ait pas encore été
entièrement élucidé à ce jour, l’activité pharmacologique
potentiellement pertinente pour les effets thérapeutiques d’Iqirvo
comprend l’inhibition de la synthèse des acides biliaires par
l’activation des PPAR alpha et delta. En 2019, Iqirvo a obtenu la
désignation « Breakthrough Therapy » de la Food and Drug
Administration aux États-Unis chez les adultes atteints de CBP et
présentant une réponse inadéquate à l’acide ursodésoxycholique
(AUDC), le traitement de première ligne existant pour la CBP.
Iqirvo a obtenu l’approbation des autorités de santé aux États-Unis
via une procédure accélérée en juin 2024, puis l’approbation
conditionnelle des autorités de l’UE en septembre 2024, et
l’approbation de l’Agence britannique de réglementation des
médicaments et des produits de santé (MHRA) en octobre 2024, pour
le traitement de la cholangite biliaire primitive (CBP) en
association avec l’acide ursodésoxycholique (AUDC) chez l’adulte
présentant une réponse inadéquate à l’AUDC, ou en monothérapie chez
les patients intolérants à l’AUDC. Ces approbations de la FDA et de
l’EMA dépendent des résultats d’un examen approfondi du bénéfice
clinique. Iqirvo suit actuellement des processus réglementaires
auprès d’autres autorités. Iqirvo (élafibranor) a été développé par
GENFIT. Ipsen a obtenu auprès de GENFIT, dans le cadre d’un accord
de licence, les droits exclusifs mondiaux de l’élafibranor (à
l’exception de la Chine, de Hong Kong, de Taïwan et de Macao) en
2021.
INDICATION
IQIRVO® est indiqué pour le traitement de la cholangite biliaire
primitive (CBP) en association avec l’acide ursodésoxycholique
(AUDC) chez l’adulte présentant une réponse inadéquate à l’AUDC, ou
en monothérapie chez les patients intolérants à l’AUDC.
Cette indication a été approuvée selon une
procédure accélérée sur la base de la diminution du taux de
phosphatases alcalines (ALP). L’amélioration de la survie ou la
prévention des événements de décompensation au niveau du foie n’ont
pas été démontrées. Une approbation définitive dans cette
indication est tributaire de la vérification et de la description
du bénéfice clinique attesté dans le(s) étude(s) de
confirmation.
Limites d’utilisation :
Iqirvo n’est pas recommandé aux personnes qui sont atteintes ou
développent une cirrhose décompensée (par exemple : ascite,
saignement d’une varice, encéphalopathie hépatique).
INFORMATIONS DE SÉCURITÉ IMPORTANTES
Myalgie, myopathie et
rhabdomyolyse : Une rhabdomyolyse entraînant une
lésion rénale aiguë est survenue chez un patient traité par IQIRVO
qui souffrait d’une cirrhose dès le début de l’étude et prenait
également une dose stable d’un inhibiteur de l’HMG-CoA réductase
(statine). Des myalgies ou myopathies, avec ou sans élévation du
taux de créatine phosphokinase (CPK), sont survenues chez des
patients traités par IQIRVO uniquement ou traités concomitamment
avec une dose stable d’un inhibiteur de l’HMG-CoA réductase. Il
convient d’évaluer la myalgie et la myopathie avant de débuter la
prise d’IQIRVO. Une évaluation périodique (examen clinique, mesure
de la CPK) doit être envisagée pendant le traitement par IQIRVO, en
particulier chez les personnes qui présentent des signes et
symptômes d’apparition ou d’aggravation de douleurs musculaires ou
de myopathie. Interrompre le traitement par IQIRVO en cas
d’apparition ou d’aggravation de douleurs musculaires, de myopathie
ou de rhabdomyolyse.
Fractures : Des
fractures sont survenues chez 6 % des patients traités par
IQIRVO par rapport aux patients n’ayant reçu aucun placebo.
Envisager le risque de fractures dans le suivi des patients traités
par IQIRVO et surveiller la santé osseuse conformément aux
traitements de référence actuels.
Effets indésirables sur le développement
du fœtus et du nouveau-né : IQIRVO présente un risque
de toxicité fœtale lorsqu’il est administré pendant la grossesse.
S’agissant des femmes en âge de procréer, il est nécessaire de
vérifier que la patiente n’est pas enceinte avant de débuter le
traitement. Conseiller aux femmes en âge de procréer d’utiliser une
méthode efficace de contraception non hormonale ou d’utiliser une
méthode de contraception barrière conjointement avec une méthode de
contraception hormonale systémique pendant le traitement par IQIRVO
et pendant trois semaines après l’administration de la dernière
dose d’IQIRVO.
Lésions hépatiques induites par la prise
de médicament : Des lésions hépatiques d’origine
médicamenteuse sont survenues chez un patient ayant pris 80 mg
d’IQIRVO une fois par jour et chez deux patients ayant pris 1,5
fois la dose recommandée d’IQIRVO, dont un patient qui présentait
une hépatite auto-immune. Le délai médian avant une élévation des
taux observée dans les résultats des tests hépatiques était de 85
jours. Obtenir des évaluations cliniques et en laboratoire
correspondant à la situation de référence au moment de débuter le
traitement par IQIRVO et surveiller ces données par la suite
conformément à la prise en charge de routine du patient.
Interrompre le traitement par IQIRVO si les résultats des tests
hépatiques (ALT, AST, bilirubine totale [BT] et/ou phosphatases
alcalines [ALP]) s’aggravent, ou si le patient développe des signes
et des symptômes évocateurs d’une hépatite clinique (par exemple,
jaunisse, douleur dans le quadrant supérieur droit, éosinophilie).
Envisager un arrêt définitif si les résultats des tests hépatiques
se détériorent après la reprise d’IQIRVO.
Réactions
d’hypersensibilité : Des réactions
d’hypersensibilité ont été observées lors d’un essai clinique avec
la prise de 1,5 fois la dose recommandée d’IQIRVO. Trois patients
(0,2 %) ont présenté une éruption cutanée ou une réaction
allergique non spécifiée survenue 2 à 30 jours après le début de la
prise d’IQIRVO. Les réactions d’hypersensibilité ont disparu après
l’arrêt d’IQIRVO et la prise d’un traitement par stéroïdes et/ou
antihistaminiques. En cas de réaction d’hypersensibilité grave,
arrêter définitivement IQIRVO. Si une réaction d’hypersensibilité
légère ou modérée est observée, interrompre IQIRVO et traiter
rapidement l’hypersensibilité. Surveiller le patient jusqu’à ce que
les signes et symptômes disparaissent. Si une réaction
d’hypersensibilité est de nouveau observée après la
ré-administration d'IQIRVO (« rechallenge »), arrêter
définitivement IQIRVO.
Obstruction des voies biliaires
: Éviter d’utiliser IQIRVO chez les patients
présentant une obstruction complète des voies biliaires. Si une
obstruction des voies biliaires est suspectée, interrompre IQIRVO
et traiter comme indiqué cliniquement.
Interactions
médicament-médicament
IQIRVO peut réduire l’exposition systémique au
progestatif et à l’éthinylestradiol (substrats du CYP3A4), ce qui
peut entraîner un échec contraceptif et/ou une augmentation des
saignements intermenstruels. Recommander l’utilisation d’une
méthode efficace de contraception non hormonale ou l’utilisation
d’une méthode de contraception barrière conjointement avec une
méthode de contraception hormonale pendant le traitement par IQIRVO
et pendant au moins trois semaines après l’administration de la
dernière dose.
Une élévation du taux de CPK et/ou une myalgie
ont été observées chez des patients sous IQIRVO en monothérapie.
L’administration d’IQIRVO conjointement avec des inhibiteurs de
l’HMG-CoA réductase peut augmenter le risque de myopathie.
Surveiller les signes et symptômes de lésions musculaires.
Envisager une évaluation périodique (examen clinique, CPK) pendant
le traitement. Interrompre le traitement par IQIRVO en cas
d’apparition ou d’aggravation de douleurs musculaires ou de
myopathie.
L’administration d’IQIRVO conjointement avec la
rifampicine, un inducteur d’enzymes métabolisantes, peut réduire
l’exposition systémique d’elafibranor, entraînant une réponse
biochimique retardée ou sous-optimale. Surveiller la réponse
biochimique (par exemple, les taux d’ALP et de bilirubine) lorsque
les patients commencent à utiliser la rifampicine pendant le
traitement par IQIRVO.
Les chélateurs d’acides biliaires peuvent
interférer sur l’absorption de l’IQIRVO et l’exposition systémique,
ce qui peut réduire l’efficacité du traitement. Administrer IQIRVO
au minimum 4 heures avant ou après un chélateur d’acides
biliaires, ou à un intervalle aussi grand que possible.
Utilisation dans les populations
spéciales
Grossesse : D'après les
données issues d’études sur la reproduction animale, IQIRVO
présente un risque de toxicité fœtale lorsqu’il est administré
pendant la grossesse. Il n’existe pas suffisamment de données sur
les femmes enceintes exposées à IQIRVO pour permettre une
évaluation du risque associé au médicament de malformations
congénitales majeures, de fausse couche ou d’autres issues
maternelles ou fœtales indésirables. Signaler toute grossesse à
Ipsen Biopharmaceuticals, Inc., sur la ligne de signalement des
effets indésirables au +1-855-463-5127 ou sur :
https://www.ipsen.com/contact-us/.
Allaitement : Aucune donnée n’est disponible
sur la présence d’IQIRVO ou de ses métabolites dans le lait
maternel humain, ni sur les effets d’IQIRVO sur l’enfant allaité ou
les effets sur la production de lait. IQIRVO n’est pas recommandé
pendant l’allaitement et pendant au moins trois semaines après la
dernière dose d’IQIRVO, car le risque pour l’enfant allaité ne peut
être exclu.
Femmes et hommes en âge de
procréer : IQIRVO présente un risque de toxicité
fœtale, lorsque celui-ci est administré chez la femme enceinte.
Vérifier que la patiente en âge de procréer n’est pas enceinte
avant de lancer IQIRVO. Il convient d’informer les femmes en âge de
procréer qu’elles doivent utiliser une méthode de contraception
efficace au cours du traitement par IQIRVO, et pendant trois
semaines après la prise de la dernière dose.
Les événements indésirables les plus fréquemment
survenus chez ≥ 10 % des patients étaient la prise de poids
(23 %), les douleurs abdominales (11 %), les nausées
(11 %), les vomissements (11 %) et la diarrhée
(11 %).
Nous vous encourageons à signaler à la
FDA tout effet secondaire. Pour cela, composez le
numéro +(1-800) FDA-1088 ou rendez-vous sur le
site www.fda.gov/medwatch. Vous
pouvez également signaler tout effet secondaire à Ipsen
Pharmaceuticals au +1-855-463-5127.
Veuillez consulter les
Informations complètes relatives à la prescription
d’IQIRVO aux États-Unis.
Veuillez consulter les Informations
complètes relatives à la prescription d’IQIRVO
dans l’Union européenne.
FIN
À propos d’Ipsen
Nous sommes un groupe biopharmaceutique mondial focalisé sur la
mise au point de médicaments innovants pour les patients dans trois
domaines thérapeutiques : l’Oncologie, les Maladies Rares et
les Neurosciences.
Notre portefeuille croissant de produits en
R&D s’appuie sur l’innovation externe et sur près de 100 ans
d’expérience de développement au sein de hubs mondiaux aux
États-Unis, en France et au Royaume-Uni. Nos équipes, présentes
dans plus de 40 pays, et nos partenariats à travers le monde nous
permettent de proposer nos médicaments aux patients dans plus de 80
pays.
Ipsen est côté en bourse à Paris
(Euronext : IPN) et aux États-Unis à travers un programme
d’American Depositary Receipt (ADR : IPSEY) sponsorisé de
niveau I. Le site Internet d’Ipsen est www.ipsen.com
Contact média d’Ipsen
Investisseurs
Nicolas Bogler | + 33 6 52 19 98
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Déclarations et/ou avertissement
Ipsen
Ipsen
Les déclarations prospectives et les objectifs contenus dans ce
communiqué sont basés sur la stratégie et les hypothèses actuelles
de la Direction d’Ipsen. Ces déclarations et objectifs dépendent de
risques et d’incertitudes connus ou non qui peuvent entraîner une
divergence significative entre les résultats, performances ou
événements effectifs et ceux envisagés dans ce communiqué De tels
risques et imprévus pourraient affecter la capacité d’Ipsen à
atteindre ses objectifs financiers, lesquels reposent sur des
hypothèses raisonnables quant aux conditions macroéconomiques à
venir formulées d’après les informations disponibles à ce jour.
L'utilisation des termes « croit », « envisage » et « prévoit » ou
d'expressions similaires a pour but d'identifier des énoncés
prospectifs, notamment les attentes d’Ipsen quant à des événements
futurs tels que les soumissions et décisions réglementaires. De
plus, les objectifs mentionnés dans ce document sont établis sans
tenir compte d’éventuelles opérations futures de croissance externe
qui pourraient venir modifier tous ces paramètres. Ces prévisions
sont notamment fondées sur des données et hypothèses considérées
comme raisonnables par Ipsen, et dépendent de circonstances ou de
faits susceptibles de se produire à l’avenir et dont certains
échappent au contrôle du Groupe, et non pas exclusivement de
données historiques. Les résultats réels pourraient s’avérer
substantiellement différents de ces objectifs compte tenu de la
matérialisation de certains risques ou incertitudes, et notamment
qu’un nouveau médicament peut paraître prometteur au cours d’une
phase préparatoire de développement ou après des essais cliniques,
mais n’être jamais commercialisé ou ne pas atteindre ses objectifs
commerciaux, notamment pour des raisons réglementaires ou
concurrentielles. Ipsen doit ou peut avoir à faire face à la
concurrence de produits génériques, qui pourrait se traduire par
des pertes de parts de marché. En outre, le processus de recherche
et développement comprend plusieurs étapes et, lors de chaque
étape, le risque est important qu’Ipsen ne parvienne pas à
atteindre ses objectifs et qu’il soit conduit à renoncer à
poursuivre ses efforts sur un médicament dans lequel il a investi
des sommes significatives. Aussi, Ipsen ne peut être certain que
des résultats favorables obtenus lors des essais précliniques
seront confirmés ultérieurement lors des essais cliniques ou que
les résultats des essais cliniques seront suffisants pour démontrer
le caractère sûr et efficace du médicament concerné. Il ne saurait
être garanti qu’un médicament recevra les approbations
réglementaires nécessaires ou qu’il atteindra ses objectifs
commerciaux. Les résultats réels pourraient être sensiblement
différents de ceux annoncés dans les déclarations prévisionnelles
si les hypothèses sous-jacentes s'avèrent inexactes ou si certains
risques ou incertitudes se matérialisent. Les autres risques et
incertitudes comprennent, sans toutefois s'y limiter, la situation
générale du secteur et la concurrence ; les facteurs économiques
généraux, y compris les fluctuations des taux d'intérêt et des taux
de change ; l'incidence de la réglementation de l'industrie
pharmaceutique et de la législation en matière de santé ; les
tendances mondiales vers une plus grande maîtrise des coûts de
santé ; les avancées technologiques, les nouveaux médicaments et
les brevets obtenus par la concurrence ; les problèmes inhérents au
développement de nouveaux médicaments, notamment l'obtention d'une
homologation ; la capacité d’Ipsen à prévoir avec précision les
futures conditions du marché ; les difficultés ou délais de
production ; l'instabilité financière de l'économie internationale
et le risque souverain ; la dépendance à l'égard de l'efficacité
des brevets d’Ipsen et d’autres protections concernant les
médicaments novateurs ; et le risque de litiges, notamment des
litiges en matière de brevets ou des recours réglementaires. Ipsen
dépend également de tierces parties pour le développement et la
commercialisation de ses médicaments, ce qui peut donner lieu à des
redevances substantielles ; en outre ces partenaires pourraient
agir de manière à nuire aux activités d’Ipsen ainsi qu’à ses
résultats financiers. Ipsen ne peut être certain que ses
partenaires tiendront leurs engagements. À ce titre, le Groupe
pourrait ne pas être en mesure de bénéficier de ces accords. Une
défaillance d’un de ses partenaires pourrait engendrer une baisse
imprévue de revenus pour Ipsen. De telles situations pourraient
avoir un impact négatif sur l’activité d’Ipsen, sa situation
financière ou ses résultats. Sous réserve des dispositions légales
en vigueur, Ipsen ne prend aucun engagement de mettre à jour ou de
réviser les énoncés prospectifs ou objectifs visés dans le présent
communiqué afin de refléter des changements qui viendraient
affecter les événements, situations, hypothèses ou circonstances
sur lesquels ces énoncés se fondent. L’activité d’Ipsen est soumise
à des facteurs de risques qui sont décrits dans ses documents
d’information enregistrés auprès de l’Autorité des Marchés
Financiers. Les risques et incertitudes présentés ne sont pas les
seuls auxquels le Groupe doit faire face et le lecteur est invité à
prendre connaissance de la dernière édition du Document
d’enregistrement universel d’Ipsen, disponible sur ipsen.com.
Références
1.Kowdley. K,. et al. Long term efficacy
and safety of elafibranor in primary biliary cholangitis: Interim
results from the open-label extension of the ELATIVE®
trial up to 3 years . Poster, Abstract 5041. American Association
for the Study of Liver Disease (AASLD).2024
2.Swain. M, et al. Impact of elafibranor on fatigue in
patients with primary biliary cholangitis: Interim results from the
long-term open-label extension of the ELATIVE® trial .
Poster, Abstract 5042. American Association for the Study of Liver
Disease (AASLD).2024
3Lu M, Zhou, et al. Fibrotic Liver Disease Consortium
Investigators. Increasing Prevalence of Primary Biliary Cholangitis
and Reduced Mortality With Treatment. Clin Gastroenterol Hepatol.
2018 Aug;16(8):1342-1350.e1. DOI:
10.1016/j.cgh.2017.12.033.
- Ipsen CP_Iqirvo (elafibranor) sur une période allant jusquà
trois ans chez les patients atteints de CBP_15112024
Ipsen (EU:IPN)
Historical Stock Chart
From Oct 2024 to Nov 2024
Ipsen (EU:IPN)
Historical Stock Chart
From Nov 2023 to Nov 2024