VTR Vitura

TORONTO, January 12 /PRNewswire/ -- Volta Resources Inc. (> ou la >) (TSX : VTR) annonce la signature d'une lettre de proposition avec la Société financière internationale (>), un membre du Groupe de la Banque mondiale. En vertu de la lettre de proposition, la SFI investira initialement jusqu'à 4 millions CAD pour acquérir jusqu'à 5 405 405 millions de parts Volta (>) à un prix de 0,74 CAD la part. Chaque part est constituée d'une action ordinaire de la société et d'un demi-titre d'achat d'action. Chaque titre d'achat d'action complet peut être exercé dans une action ordinaire de la société à un prix d'exercice de 1,03 CAD pour une période de cinq ans. La date d'échéance des titres serait rapprochée si, à un moment ou à un autre pendant la période d'exercice du titre, le cours moyen pondéré sur les volumes sur 15 jours (>) dépasse 1,55 CAD. La SFI aurait le droit d'effectuer d'autres placements en actions jusqu'à concurrence de 4 millions CAD, en sommes individuelles minimales de 1 million CAD, à un prix égal au plus important CMPV des 15 séances précédant la date de souscription proposée, moins une réduction de 15 %, et le CMPV des 5 séances précédant la date de souscription, moins une réduction de 20 %, et ce, pour une période de douze mois civils suivant la date de l'investissement initial de la SFI. La SFI obtiendra également le droit de maintenir son intérêt prorata dans Volta. Les profits découlant des investissements de la SFI seraient principalement utilisés pour financer les activités d'exploration du projet aurifère principal de Volta, c'est-à-dire le projet Kiaka, à Burkina Faso, en Afrique occidentale. >, a déclaré William Bulmer, directeur mondial des activités minières pour la SFI. Volta est ravie de l'investissement proposé par la SFI et croit que la longue expérience de la SFI en matière de développement de projets majeurs dans des pays émergents partout dans le monde aidera considérablement Volta à faire progresser son projet aurifère Kiaka, à Burkina Faso, en Afrique occidentale. La Banque mondiale et la SFI travaillent ensemble pour aider les pays et les sociétés à s'assurer que les avantages liés au développement des ressources sont durables. La SFI soutient l'investissement dans le secteur privé au sein des industries extractives en travaillant avec des investisseurs et communautés afin de permettre à celles-ci de profiter des avantages concrets de telles activités, de meilleures infrastructures et de débouchés économiques. La SFI offre une gamme de produits financiers aux entreprises pendant les cycles de développement de leurs projets et a investi plus de 73 milliards USD dans des marchés émergents depuis 1956. Elle a financé divers projets miniers en Afrique occidentale, y compris la mine aurifère Ahafo de Newmont, au Ghana, les mines Obuasi et Iduapriem d'AngloGold Ashanti, au Ghana, et le projet Sadiola, au Mali. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la SFI, veuillez consulter le http://www.ifc.org. La clôture de la transaction devrait avoir lieu à la fin février 2010. La clôture est assujettie aux conditions de clôture de règle, y compris l'exécution de la documentation finale et la réception de tous les consentements et autorisations nécessaires, y compris l'autorisation de la Bourse de Toronto. Volta est une société d'exploration minérale cherchant à devenir un leader en matière d'identification, d'acquisition et d'exploration de propriétés aurifères en Afrique occidentale. Cette société canadienne, dont le siège est situé à Toronto, en Ontario, mène ses activités d'exploration en Afrique occidentale et possède des bureaux d'exploitation à Accra, au Ghana, et à Ouagadougou, au Burkina Faso. Mise en garde concernant les énoncés prospectifs : Le présent communiqué de presse contient des >, au sens de la loi canadienne sur les valeurs mobilières, qui impliquent des risques et incertitudes inhérents. Ces énoncés prospectifs incluent, mais sans s'y limiter, des énoncés portant sur le prix futur de l'or et d'autres minéraux et métaux, l'estimation des réserves et ressources minérales, la réalisation des estimations de réserves minérales, les dépenses en capital, les coûts et la synchronisation des ressources, les coûts et la synchronisation de l'exploitation de nouveaux gisements, la réussite des activités d'exploration, les délais de délivrance des permis, les variations des taux de change, les exigences pour obtenir des capitaux supplémentaires, le réglementation gouvernementale en ce qui a trait aux opérations minières, les risques environnementaux, les dépenses imprévues en réclamations, les conflits ou revendications de propriétés et les limitations de la couverture d'assurance. En règle générale, ces énoncés prospectifs peuvent être identifiés par l'utilisation de termes prospectifs comme >, >, >, >, >, >, >,