L'étude de faisabilité actualisée de Kiniéro révèle une
augmentation de +46 % des réserves d'or et de +89 %
de la VAN, atteignant 322 millions de dollars américains
NE PAS DISTRIBUER AUX AGENCES DE
PRESSE AMÉRICAINES ET NE PAS DIFFUSER AUX USA
FAITS MARQUANTS :
-
Durée de vie de la mine (« LoM ») et augmentation
des réserves : Les réserves minérales ont
augmenté de 442 000oz ou 46 % pour
atteindre 1,41 million d'onces par rapport à
l'étude de faisabilité 2023 de Kiniéro (« EF
2023 ») ;
-
Potentiel de croissance des réserves
minérales : Kiniéro dispose de ressources
minérales indiquées (y compris les réserves minérales) de
2,2 Moz à 0,96 g/t Au, ainsi que des
ressources minérales inférées de 1,53 Moz à 1,05 g/t
Au (au 1er septembre 2024) ; Plus
de 25 000 mètres de forage ont été réalisés depuis
la clôture de la base de données. Une actualisation de l'état des
réserves incluant ces données de forage est prévue pour le
deuxième trimestre 2025 ;
-
Amélioration des aspects économiques : l'étude actualisée
indique une augmentation de la Valeur Actuelle Nette avant impôt
avec un taux d'actualisation de 5 %
(VAN5 %)
-
Scénario de référence (Prix de l'or à 1 800 USD/oz)
-
VAN avant impôt : 480 millions USD,
-
TRI avant impôt : 47 %.
-
VAN après impôt : 322 millions USD,
-
TRI après impôt : 36 %.
-
Scénario de consensus (Prix de l'or : 2 330
USD/oz) : VAN avant impôt 940 millions USD, TRI
avant impôt de 79 %, VAN après
impôt 647 millions USD, TRI après impôt
de 61 %.
-
Des indicateurs économiques plus solides par rapport à
l'EF 2023 (prix de l'or à 1 650 USD/oz),
qui affichait une VAN avant impôt de 5 %
à 251 millions USD et un TRI de 42 % ; une
VAN après impôt de 5 % à 170 millions USD
avec un TRI de 31 % ;
-
Production annuelle moyenne d'or :
Kiniéro devrait produire 139 000 onces d'or par an
sur une durée de vie de la mine de 9 ans, avec une
production moyenne de 154 000 onces au cours des six
premières années ;
-
Coûts conformes au budget : Le coût de
maintien tout compris (« AISC ») de la
LoM est de 1 066 USD/oz, soit une augmentation
de 9 % par rapport à l'estimation de l'EF
2023 (980 USD/oz) ;
-
Ratio de découverture (strip ratio)
amélioré : le strip ratio de la LoM est
de 2,0:1, contre 2,8:1 dans l'EF 2023, ce qui
contribue à réduire les coûts d'exploitation minière.
QUÉBEC, 18 janv. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Robex
Resources Inc. (« Robex » ou la
« Société ») (TSXV : RBX) se
réjouit d'annoncer les résultats d'une étude de faisabilité
actualisée (l' « EF »,
« Étude de faisabilité » ou
« Étude » ou
« EF 2024 ») pour son projet
aurifère de Kiniéro (le « Projet aurifère de
Kiniéro », ou le
« Projet ») à Conakry, en Guinée.
Sur la base d'un scénario avec un prix de l'or
de 1 800 USD/oz, cette étude démontre la capacité de
Kiniéro à produire en moyenne 139 000 onces d'or
par an avec un AISC
de 1 066 USD/oz sur les 9 ans de
la LoM, avec une production moyenne aurifère
de 154 000 onces sur les six premières
années. Les efforts d'optimisation du plan de la mine ont
privilégié une durée de vie de la mine stable et prolongée, plutôt
qu'une production maximale au démarrage.
Robex est en bonne voie pour une
première coulée d'or à Kiniéro au quatrième
trimestre 2025, avec la construction déjà en cours du
site de traitement d'une capacité de 5 millions de tonnes
par an (Mtpa), et de 6 Mtpa en début d'année pour les
mélanges à haute teneur en oxyde et les infrastructures associées.
La société va poursuivre ses efforts d'exploration à proximité de
la mine afin d'étendre dans les meilleurs délais la LoM
conjointement à la production annuelle. Robex est toujours en
pourparlers préliminaires avec des organismes prêteurs pour obtenir
une facilité d'emprunt qui devrait être finalisée au premier
trimestre 2025.
Matthew Wilcox, Directeur général de
Robex a déclaré : « L'actualisation de
l'étude de faisabilité de notre projet aurifère de Kiniéro en
Guinée représente une étape majeur dans nos avancées vers le
développement du projet. En effet, les optimisations de l'étude de
faisabilité et l'estimation actualisé de la ressource minière ont
permis d'accroître les réserves minérales et d'améliorer les
indicateurs économiques du projet. Pour le scénario de référence
avec un prix de l'or à 1 800 USD/oz, la VAN après
impôt s'élève désormais à 322 millions USD avec un TRI
à 36 %, ce qui représente une augmentation
de +89 % par rapport aux résultats de l'EF 2023, et
ce dans un délai très court. Dans le scénario consensus, le prix de
l'or est à 2 330 USD/oz, la VAN5 % après impôt
s'élève à 647 millions USD ou 1 milliard de
dollars australiens.
De plus, grâce à la forte prospectivité de
notre bien, nous allons augmenter très rapidement la production
annuelle et la LoM. Nous prévoyons une production moyenne de près
de 140 000 onces d'or par an sur
les 9 premières années de durée de vie du projet, avec
une production initiale de 153 000 onces par an au cours
des six premières années, idéalement programmée pour tirer parti du
contexte actuel de prix élevés de l'or.
Un forage supplémentaire de 25 000
mètres a été réalisé et sera intégré à l'actualisation de l'ERM
afin d'augmenter encore les ressources et les réserves dont la
publication est attendue pour le deuxième
trimestre 2025.
Grâce aux travaux de construction
progressant de manière satisfaisante à Kiniéro, nous publions
fréquemment des mises à jour sur le marché. Nous attendons avec
impatience d'être cotés à l'ASX dans les mois à venir et de nous
positionner comme le tout nouveau producteur d'or d'Afrique de
l'Ouest avant la fin de 2025. »
L'EF a été préparée conformément à l'Instrument
national 43-101 des Autorités canadiennes en valeurs
mobilières - Normes sur l'information des projets miniers
(« NI 43-101 »).
Le rapport technique indépendant NI
43-101 étayant l'actualisation de l'Étude de faisabilité du
projet aurifère de Kiniéro sera publié par SEDAR à l'adresse
www.sedar.com dans les 45 prochains jours.
L'EF a été préparée conformément à l'Instrument
national 43-101 des Autorités canadiennes en valeurs
mobilières - Normes sur l'information des projets miniers
(« NI 43-101 »).
Le rapport technique indépendant
NI 43-101 étayant l'actualisation de l'Étude de
faisabilité du projet aurifère de Kiniéro sera publié par SEDAR à
l'adresse www.sedar.com dans les 45 prochains jours.
Le tableau 1 propose une comparaison des
résultats de l'étude d'actualisation avec ceux de
l'EF 2023.
Tableau 1 : Améliorations apportées
en 2024 par rapport aux résultats de l'EF 2023
Point |
Unités |
EF 2023 avec prix
de l'or à 1 650 USD/oz |
EF 2024 avec prix
de l'or à
1 800 USD/oz |
Variation |
Réserves minérales probables (y compris les stocks anciens) |
Moz |
0,968 |
1,41 |
+46 % |
LoM |
année |
9,5 |
9 |
-5,2 % |
Production annuelle moyenne de la LoM |
koz |
90 |
139 |
+54 % |
Capital de préproduction |
M USD |
160 |
243 |
+52 % |
AISC de la LoM |
USD/oz |
980 |
1 023 |
+4 % |
VAN5 % avant impôt* |
M USD |
251 |
480 |
+91 % |
TRI avant impôt |
% |
42 % |
47 % |
+12 % |
VAN5 % après impôt |
M USD |
170 |
322 |
+89 % |
TRI après impôt |
% |
31 % |
36 % |
+16 % |
*La VAN de l'EF 2023 est calculée au
1er juillet 2023 tandis que la VAN de
l'EF 2024 prévisionnelle est estimée au 1er
septembre 2024
Actualisation relative aux activités de
construction à Kiniéro
La construction du projet aurifère de Kiniéro a
débuté par des travaux de génie civil (bétonnage sur le site),
construction des réservoirs de lixiviation au carbone/gravité
(« CIL »), et déblaiement du bassin de
stockage des résidus.
Achèvement de l'ingénierie du projet à
environ 75 %, obtention des éléments à long délai de
livraison, et soumission à appel d'offres de 95 % des
autres équipements.
Le projet est actuellement en bonne voie pour
une première coulée d'or d'ici la fin de l'année
civile 2025.
Faits marquants relatifs à l'étude de
faisabilité actualisée
On prévoit de traiter les extractions du
gisement de Kiniéro dans un site CIL d'une capacité nominale
de 5 Mtpa. La mine, qui est un site à ciel ouvert, sera
exploitée selon les méthodes minières conventionnelles.
Tableau 2 : Faits marquants de l'EF 2024
de Kiniéro
|
Unités |
Valeur |
Site, taille et CAPEX |
|
|
Capacité du site (à 35 % de minerai frais) |
Mtpa |
5 |
Capacité du site (à 18 % de minerai frais) |
Mtpa |
6 |
Capital initial à compter du 1er janv. 2023 |
M USD |
243 |
Réserves et ressources minérales (y compris stocks anciens) |
|
|
Réserves minérales probables |
Moz |
1,41 |
Ressources indiquées (y compris réserves) |
Moz |
2,203 |
Ressources inférées |
Moz |
1,52 |
Opérations minières |
|
|
Total des tonnes extraites sur la LoM |
Mt |
119 |
Total des résidus extraits sur la LoM |
Mt |
80 |
Tonnes de minerai extraites à la sortie sur la LoM |
Mt |
39 |
Teneur moyenne extraite |
g/t Au |
1,04 |
Strip ratio de la LoM |
W/O |
2,0 |
Opérations de traitement |
|
|
Tonnage de la LoM traité |
Mt |
45 |
Teneur moyenne traitée |
g/t Au |
0,97 |
Recouvrement moyen LoM |
% |
86,2 % |
Synthèse de la production et des coûts |
|
|
Production LoM |
koz/Au |
1 215 |
Production moyenne par an des trois premières années |
koz/Au |
153 |
Production moyenne par an de la LoM |
koz/Au |
139 |
AISC |
USD/oz |
1 066 |
Tableau 3 : Synthèse de la VAN, du TRI et du
délai de recouvrement à 1 800 USD/oz et au prix de l'or
consensuel à terme
|
Unités |
1 800 USD/oz
(prix
or de réserve) |
2 330 USD/oz
(Prix* de l'or
consensus 2024) |
Rendements avant impôt |
|
|
|
VAN5 % |
M USD |
480 |
940 |
TRI |
% |
47 % |
79 % |
Période d'amortissement |
année |
2,1 |
1,3 |
Rendements après impôt |
|
|
|
VAN5 % |
M USD |
322 |
647 |
TRI |
% |
36 % |
61 % |
Période d'amortissement |
année |
2,6 |
1,6 |
*prix de l'or consensus S&P à long terme
à la fin du mois d'octobre 2024, compris
entre 2 431 USD/oz et 2 320
USD/oz
Comme illustré dans le Schéma 1
ci-dessous, l'Étude démontre la capacité de Kiniéro à produire en
moyenne 139 000 onces d'or par an avec un AISC
de 1 066 USD/oz sur la LoM au prix consensuel de l'or,
les efforts d'optimisation de la mine ayant privilégié une durée de
vie stable et prolongée plutôt qu'une production initiale maximale.
Au cours des prochaines années, Robex entend poursuivre ses efforts
d'exploration afin de prolonger la LoM et d'augmenter la production
annuelle.
Schéma 1 : Synthèse de la
production aurifère et AISC sur la totalité de la LoM
DONNÉES DE L’ÉTUDE DE FAISABILITÉ
Aperçu
Le projet est situé dans l'est de la Guinée,
dans la préfecture de Kouroussa. Le site est situé à 27 km au
sud-est de la ville de Kouroussa et à 546 km de Conakry, la
capitale de la Guinée (Schéma 2 : localité
régionale du projet aurifère de Kiniéro et infrastructure régionale
de la Guinée).
Le projet aurifère de Kiniéro se compose d'un
ensemble de terrains d'exploitation et d'exploration d'une
superficie de 470,48 km² comprenant la zone de permis
d'exploitation de Kiniéro et la zone de permis d'exploitation de
Mansounia. Le projet aurifère de Kiniéro est l'une des plus grandes
licences d'extraction d'or de Guinée.
Schéma 2 : Localisation
régionale du projet aurifère de Kiniéro et infrastructure régionale
de la Guinée
Les gisements aurifères de Kiniéro, situés dans
le bassin aurifère prolifique de Siguiri, ont été découverts au
début des années 1900 et ont ensuite été explorés jusqu’en 2002,
date à laquelle la production d'or a commencé sous la propriété de
SEMAFO Inc. et de sa filiale SEMAFO Guinée SA.
La mine d'or historique de Kiniéro comprenait
une exploitation minière à ciel ouvert dont la production a
atteint 418 000 onces d'or au cours de
ses 12 années d'exploitation. La mine a été placée sous
maintenance au début de l'année 2014.
Compte tenu du fort potentiel d'exploration,
d'une combinaison de friches industrielles en réhabilitation
complémentaires proches de l'usine et d'extensions connues, ainsi
que de nouvelles cibles à grande échelle, Robex vise (i) la
découverte de ressources minérales dans la zone de permis
d'exploration de Kiniéro au cours des prochaines années, et (ii) la
conversion de ressources minérales en réserves minérales.
Un vaste programme de forage est en cours sur
les nombreux gisements identifiés afin d'augmenter les ressources
et d'étendre la LoM à Kiniéro, principalement en augmentant la
densité de forage en profondeur et le long des extensions en
longueur connues.
Depuis le début de la construction, Robex s'est
engagé à impliquer les communautés villageoises dans le
développement de la mine, ainsi qu'à explorer une source d'énergie
durable dans le but de réduire et limiter son empreinte
environnementale.
Géologie
Le projet est situé dans le district aurifère de
Kiniéro dans le bassin de Siguiri, situé dans le nord-est de la
Guinée, s’étendant jusqu’au centre du Mali. D'un point de vue
géologique, le bassin de Siguiri comprend une partie de la ceinture
de roches vertes birimiennes d’Afrique de l’Ouest, y compris des
volcans intrusifs (ultramafiques à intermédiaires) ainsi que des
sédiments déposés au cours de la période de 2,13 Ga
à 2,07 Ga.
Les lithologies volcaniques et sédimentaires
comprennent des roches sédimentaires à grain fin (schistes et
siltites), avec quelques roches volcaniques intercalées. Les
corridors tectoniques grès-gris ont été préférentiellement modifiés
et localement silicifiés, soutenant de vastes réseaux de fractures
fragiles. Ces derniers ont à leur tour fourni des environnements
hôtes pour les fluides hydrothermaux minéralisés ascendants.
Les gisements situés sur le site du projet sont
associés à l’orogenèse birimienne protérozoïque de l'Afrique de
l'Ouest. La grande majorité de la minéralisation aurifère dans le
craton ouest-africain est encaissée dans une zone de cisaillement
et contrôlée structurellement, car la lithologie revêt une
influence locale mineure. La minéralisation développée dans le
district aurifère de Kiniéro est conforme à ce style général de
minéralisation.
Au total, 47 anomalies aurifères ont été
identifiées sur le projet, dont cinq groupes de gisements (Sabali,
Mansounia, SGA, Jean et Balan) ayant été suffisamment explorés pour
permettre l’estimation des ressources minérales.
Schéma 3 : Localisation des
principaux gisements de Kiniéro et coupes transversales (A-B,
C-D) et Schéma 4 : Coupe transversales à
travers les gisements SGA (A-B) et Sabali Sud (C-D) illustrant
l’emplacement des principaux gisements de Kiniéro et des coupes
transversales à travers les gisements SGA et Sabali Sud. Les coupes
transversales sélectionnées montrent les coquilles de qualité
aurifère de 0,3 g/t, les coquilles et RPEE (perspectives
raisonnables d'extraction économique), les interceptions aurifères
significatives (minimum de 2 m @ 0,5 g/t) et les profils de
régolithe dans chaque gisement. La section A à B, à travers SGA,
met en évidence l’importante frappe nord-est et l’extension de
profondeur du gisement. La section C-D, à travers Sabali Sud,
montre le profil de saprolite et d’aubier profonds du gisement à
l’est (au-delà de 100 m dans certaines zones).
La section E-F, à travers Mansounia Central,
indique l'extension en profondeur de la direction nord-est.
Schéma 3 : Localisation des
principaux gisements de Kiniéro et coupes transversales (A-B, C-D,
E-F)
Schéma 4 : Coupes
transversales à travers les gisements SGA (A-B), Sabali Sud (C-D)
et Mansounia Central (E-F)
Réserves et ressources
minérales
La mise à jour de l'EF de janvier 2025 est
basée sur l'estimation mise à jour des ressources minérales
(«ERM»), tel qu'indiqué dans le Tableau 4
ci-dessous, dont le ratio de conversion des ressources aux réserves
pour l'estimation in-situ est de 66 %. L'ERM comprend les
réserves minérales.
Tableau 4 : Synthèse des
réserves et des ressources minérales
Base à 100 % |
Tonnage (Mt) |
Teneur (Au g/t) |
Contenu (koz) |
Réserves minérales probables (in-situ) |
39,3 |
1,04 |
1 320 |
Réserves minérales probables (y compris les stocks anciens) |
6,3 |
0,48 |
100 |
Total des réserves minérales probables |
45,5 |
0,97 |
1 410 |
Ressources minérales indiquées (in situ) |
59,62 |
1,08 |
2 064 |
Indiquées (y compris les stocks anciens) |
11,61 |
0,37 |
139 |
Total des ressources minérales indiquées (incluant les
réserves minérales) |
71,23 |
0,96 |
2 203 |
Ressources minérales inférées (in-situ) |
45,10 |
1,05 |
1 519 |
Inférées (y compris les stocks anciens) |
0,19 |
1,31 |
8 |
Total des ressources minérales inférées |
45,29 |
1,05 |
1 527 |
Notes :
-
La date d’entrée en vigueur des ressources et réserves
minérales est le 30 novembre 2024.
-
La date de fermeture de la base de données des échantillons
renseignant les ressources minérales in situ, à l'exclusion de
Mansounia, est le 17 août 2022. La date de fermeture
de la base de données pour l'ERM de Mansounia est
le 16 octobre 2024.
-
Les teneurs limites pour la déclaration des ressources
minérales sont :
-
SGA, Jean et Banfara : latérite 0,3 g/t Au,
saprolite (oxyde) 0,3 g/t Au, aubier (transition)
0,3 g/t Au, frais 0,4 g/t Au.
-
Sabali Sud : latérite 0,3 g/t Au, zone
marbrée/saprolite/saprolite inférieure (oxyde) 0,3 g/t Au, aubier
(transition) 0,5 g/t Au, frais 0,6 g/t Au.
-
Sabali Nord et Centre : latérite 0,3 g/t Au, saprolite
(oxyde) 0,3 g/t Au, aubier (transition) 0,6 g/t Au, frais 0,6 g/t
Au.
-
Balan Ouest : latérite 0,3 g/t Au, saprolite (oxyde) 0,3 g/t
Au, aubier (transition) 0,3 g/t Au, frais 0,5 g/t Au.
-
Mansounia Centre : latérite 0,4 g/t Au, saprolite
(oxyde) 0,3 g/t Au, aubier (transition) 0,5 g/t Au, frais 0,5 g/t
Au.
-
Les stocks déclarés comme ressources minérales ont été limités
aux dépôts présentant une teneur moyenne >0,3 g/t Au pour
l'ensemble du stock, en supposant l'absence de
sélectivité.
-
Ces derniers sont basés sur un prix de l'or
de 2 200 USD/oz, ainsi que sur les coûts et les taux
de récupération propres à chaque fosse et type
d'alimentation.
-
La personne qualifiée (QP) pour cette ERM est M. Ingvar
Kircher.
-
Les ressources minérales sont déclarées en incluant les
réserves minérales.
-
Les ressources minérales de la mine à ciel ouvert ont été
limitées à l'aide d'enveloppes de fosse optimales basées sur un
prix de l'or de 2 200 USD/oz.
-
Les normes de définition de l'ICM pour les ressources minérales
et les réserves minérales (ICM, 2014) ont été utilisées pour la
déclaration des réserves minérales.
-
L'estimation des réserves minérales a été effectuée avec un
prix de l'or à long terme de 1 800 USD par once troy pour
toutes les zones minières.
-
Les réserves minérales sont exprimées en termes de tonnes
livrées et de teneur avant récupération du procédé.
-
Les réserves minérales sont définies par l’optimisation de la
fosse et sont basées sur des seuils de rentabilité variables
générés par la destination du procédé et les récupérations
métallurgiques.
-
La récupération des métaux est variable et elle dépend du type
de matériau et de la zone d’extraction.
-
La dilution et la perte de minerai sont appliquées au moyen de
peaux de dilution de 1,0 m au modèle de blocs de ressources à
l’aide de l’optimiseur de forme minière (MSO).
-
La personne qualifiée responsable de ces éléments du rapport
technique n’a connaissance d’aucun facteur minier, métallurgique,
d'infrastructure, de permis ou autre facteur pertinent susceptible
d'affecter matériellement l'estimation des réserves
minérales.
-
Les ressources minérales ont été compilées conformément aux
directives énoncées dans les normes de définition de l'ICM,
(2014).
-
Les estimations peuvent être matériellement affectées par des
questions d'environnement, d'autorisation, de droit, de marketing
ou d'autres questions pertinentes. Veuillez consulter
« États
prévisionnels » ci-dessous et le rapport
technique du projet aurifère Kiniéro qui sera préparé conformément
au règlement NI 43-101 et déposé sur SEDAR+ R à l'adresse
www.sedarplus.com dans les 45 prochains jours.
-
Les mesures de tonnage et de teneur sont exprimées en unités
métriques. L'or contenu est rapporté en onces troy.
-
Les totaux peuvent ne pas être exacts en raison des
arrondis.
Exploration
La date de fermeture de la base de données des
échantillons renseignant les ressources minérales in situ est
le 16 octobre 2024 pour Mansounia,
le 17 août 2022 pour toutes les autres zones du
gisement de Kiniéro et le 12 novembre 2022 pour
l'ensemble du stock des ressources minérales.
Les forages supplémentaires qui ont été réalisés
mais n'ont pas été inclus dans cette mise à jour des ressources et
des réserves, en raison des contraintes de délai, sont présentés
dans le Tableau 5.
Tableau 5 : Forages supplémentaires
réalisés depuis la date de clôture de la base de données
Gisement |
N° Forages |
Mètres* |
SGA |
56 |
8 123 |
Jean |
14 |
2 165 |
GOB D & NEGD |
38 |
6 499 |
Sabali Nord |
2 |
240 |
Sabali Centre |
3 |
370 |
Sabali Sud |
13 |
2 364 |
Mankan |
43 |
5 633 |
Total |
169 |
25 394 |
*Ces chiffres sont une combinaison des mètres en circulation
inverse et des mètres de forage au diamant
L’exploration des friches industrielles
consistera à creuser des tranchées et à forer à l'intérieur et
autour des gisements proches de la mine. Les forages seront une
combinaison de forages au diamant et de forages à circulation
inverse (« RC ») et l'objectif est double, à savoir l'ajout de
ressources et la conversion des ressources en réserve. Le forage se
concentrera sur quatre gisements : SGA, NEGD, Sabali Sud et
Mansounia Centre. SGA, NEGD et Sabali Sud comprendront le forage
d’ajout de ressources par extension en longueur et en profondeur,
ainsi que des forages destinés à la conversion des ressources en
réserves.
Un total prévu d’environ 10 000 m de forage au
diamant et 50 000 m de forage RC est planifié pour 2025 dans
différents gisements. Cependant, le programme de forage prendra la
forme d'un processus itératif basé sur les résultats en cours et
leur impact. Par conséquent, le plan peut être modifié et adapté à
tout changement de stratégie.
Opérations minières
Les opérations minières à Kiniéro devraient être
entreprise par des camions et des excavatrices conventionnels
exploités par le propriétaire dans les fosses SGA, Jean, SGD,
Sabali Sud, Mansounia et Sabali Nord et Central à l'aide
d'excavatrices Komatsu PC1250 exploitant des bancs de 5 m et des
fossés de 2,5 m qui chargeront des camions de 40 tonnes Komatsu
HM400.
L’opération minière dans les couches supérieures
d’oxyde se fera à ciel ouvert avec des forages et des explosions
dans les zones où l'on exploite le matériau de transition jusqu'à
la roche fraîche. La nature à ciel ouvert des zones d’oxyde a été
confirmée par une exploitation minière antérieure à grande échelle
sur le site. Le forage et le dynamitage seront nécessaires pour
environ 30 % du matériau oxydé, 100 % de la latérite, 100 % du
matériau de transition et 100 % du matériau frais.
Le minerai sera classé par matériau et par
teneur par le contrôle de la teneur en fosse et sera transporté
jusqu’à la plateforme de stockage du minerai de la mine («MOP»).
Les déchets seront transportés vers l’installation de stockage des
résidus la plus proche par la lotte Komatsu HM400.
Les opérations minières historiques à Jean, SGA
et SGD ont créé des lacs de fosse qui nécessitent un assèchement et
un nettoyage avant l'exploration minière.
Les principales infrastructures minières,
notamment les fosses, les installations de décharge des résidus,
les stocks et les routes de transport, sont indiquées dans le
Schéma 5.
Schéma 5 : Disposition des
principales infrastructures minières
Opérations de traitement
Primero Pty Ltd. («Primero») a
été chargée par Robex d'entreprendre la reconception détaillée de
la nouvelle usine de traitement afin d'augmenter sa capacité de
3Mtpa à un débit prévu de 6Mtpa à 18 % de frais dans l'alimentation
en minerai. La conception de l'usine de traitement repose sur un
schéma métallurgique développé pour une exploitation flexible entre
les différents types de minerais tout en maintenant le débit et la
récupération de l'or. Le minerai sera traité sur place, dans une
installation de traitement centrale située à proximité des zones
d'extraction. L'or sera récupéré dans une usine d'enrichissement
conçue pour traiter un mélange de minerais d'oxyde, de latérite, de
transition et de minerais frais provenant de divers gisements de
minerais.
Les minerais d'oxyde et de transition supérieurs
(tendres) nécessitent moins d'énergie de broyage que les latérites
et les minerais frais (durs). Ils présentent cependant d'autres
difficultés de manipulation en raison de la nature collante des
types de minerais d'oxydes, ce qui justifie des dispositifs de
concassage spécifiques pour les minerais tendres et les minerais
durs. La conception de l'usine de traitement repose sur une
capacité nominale de 5,0 Mtpa avec 35 % de minerai frais dans
l'alimentation de l'usine et de 6,0 Mtpa avec 18 % de minerai frais
dans l'alimentation. Le schéma de traitement (Schéma 6) comprend
deux circuits de concassage, semi-autogène, broyage à boulets et
broyage à galets (SABC), deux circuits CIL, l'élution séparée de
l'Anglo-American Research Laboratories (« AARL »), l'extraction
électrolytique de l'or et la régénération du carbone, qui ont fait
leurs preuves dans l'industrie.
Schéma 6 :
Diagramme fonctionnel simplifié d'une installation de
traitement
Infrastructure
Le projet bénéficie d'une bonne infrastructure à
proximité du site et le besoin de relocalisation est limité car il
n'y a pas de village sur le site. Les infrastructures minières
existantes seront remises en état et ne nécessiteront qu'un minimum
d'infrastructures supplémentaires.
De plus, les premiers initiaux se sont
concentrés sur l'avancement de l'infrastructure du site afin de
faciliter une transition en douceur vers la construction. Les
routes de site menant à la mine à partir du réseau routier
national, de la clôture du périmètre de la mine et des travaux de
terrassement du camp de construction ont déjà été achevés dans le
cadre des premiers travaux, engagés au cours de
l'année 2024.
De nouvelles infrastructures seront ajoutées
pour soutenir l’exploitation minière, le traitement et la gestion
des déchets sur le permis minier, y compris une ligne de transport
d’électricité, des générateurs diesel et des installations
supplémentaires sur le site et des logements pour le personnel.
Énergie
En raison de l'emplacement du projet, l'accès au
réseau national guinéen n'est pas disponible, et une solution de
production d'électricité sur site est donc nécessaire. La centrale
électrique hybride fioul lourd (« HFO ») - solaire et de stockage
de batterie est proposée pour le projet, composée de générateurs
HFO d'une capacité d'environ 28 MW, d'une centrale solaire
photovoltaïque (« PV ») d'une capacité totale d'environ 21 MWp/
16MW AC et d'un système de stockage d'énergie par batterie (« BESS
») d'une capacité de 5,2 MWh avec une capacité utilisable de 4 MW
et un système de conversion d'énergie de 4 MW.
Eau
L’eau nécessaire aux opérations proviendra du
barrage de captage d'eau brute existant (collecte des eaux de
ruissellement), de l’assèchement des fosses historiques et des
forages. Le site de la mine et les deux camps d'hébergement auront
besoin d'eau potable pendant les opérations et la construction.
Actuellement, le camp principal est alimenté par un trou de forage
et le camp du personnel sera alimenté par la rivière Niandan.
L'eau de traitement proviendra principalement de
l'eau recirculée de l'installation de stockage des résidus
(« TSF »). L'eau est recirculée en continu depuis le TSF,
vers le bassin d'eau de traitement et vers l'usine de traitement,
principalement dans la zone de broyage. Une pompe située dans l'eau
de traitement alimente le réseau de distribution de l'eau de
traitement de l'usine. De l'eau brute est ajoutée au bassin d'eau
de traitement par le biais du trop-plein du réservoir d'eau douce
afin de compenser les pertes d'eau de traitement.
L'approvisionnement en eau proposé est suffisant pour répondre aux
besoins de l'usine de traitement.
Résidus
Knight Piésold Consulting (« KP ») a
été mandatée par Robex pour entreprendre la conception détaillée du
TSF, sur la base des travaux effectués pour le rapport technique de
2023 et des travaux et études supplémentaires réalisés depuis la
conception de 2023. Le TSF proposé doit accueillir 60 Mt de résidus
sur une LoM de 10 ans, à raison de 0,5 Mt par mois (jusqu'à 6
Mtpa). Le volume d’entreposage requis pour les résidus a été
calculé en fonction d’une densité sèche in situ moyenne estimée du
produit des résidus de 1,39 t/m3, d’une densité de particules de
2,77 t/m3 et d’un taux de vide in situ moyen estimé à 1. Les
résidus seront pompés vers le TSF dans une boue comprenant 38 % à
42 % de solides en masse. Le TSF proposé a été sélectionné comme
site privilégié pour le développement de l'installation de
traitement de la mine de Kiniéro sur la base de l'évaluation des
sites candidats. Le site du TSF a été choisi pour les raisons
suivantes :
-
Réduction des volumes d'enrochement et de remblai nécessaires à la
construction du remblai principal du TSF.
-
Possibilités de phasage permettent de répartir les dépenses
d'investissement sur 3 phases.
-
Le site permet la construction d'une installation de 32 m de haut,
entièrement doublée d'un mur de confinement intégral surélevé en
aval.
-
L'élévation par rapport à l'usine de traitement est plus favorable
que les autres options et permet d'éviter une ligne de dépôt
passant par la crête entre le TSF existant et les autres options du
site, ce qui est favorable en termes de coûts de pompage.
-
Le site serait moins exposé pendant les phases d'exploitation et de
fermeture.
-
La réhabilitation et la fermeture du TSF se prêtent à des principes
de fermeture relativement simples, sans stockage d'eau à long
terme, en utilisant les dérivations d'eaux pluviales existantes
pour diriger les eaux de ruissellement hors du TSF. La surface
relativement plus petite de la digue en aval de l'installation de
stockage de résidus nécessiterait moins de matériaux pour la
réhabilitation et la végétation des pentes en aval de
l'installation de stockage de résidus.
Le TSF devrait être construit en plusieurs
phases, sous la forme d'une installation à confinement total, avec
un revêtement en polyéthylène haute densité pour le bassin et les
faces intérieures des murs de confinement, afin d'atténuer le
risque de pollution des eaux souterraines. La
phase 1 comprendra le remblai initial, la chaussée, les
tranchées d'interception, le canal de dérivation, le bassin de
collecte et le système de distribution. Les
phases 2 et 3 comprendront des levées en aval
pour les remblais du TSF jusqu'à ce que l'élévation finale soit
atteinte. La phase 3 comprendra la fermeture progressive partielle
et la construction du déversoir de secours après fermeture.
Des systèmes de gestion et de surveillance
seront mis en œuvre pour garantir que les risques associés à
l'installation sont identifiés et atténués conformément aux
pratiques et normes acceptées.
Schéma 7 : Infrastructure du
site du complexe de Kiniéro
Synthèse des coûts
opérationnels
Les estimations des coûts d’exploitation minière
ont été préparées par AMC Consultants (UK) Ltd
(«AMC»). Les coûts de traitement ont été préparés
par Primero, tandis que les estimations des coûts d’exploitation de
l’infrastructure et des frais généraux et administratifs
(«G&A») ont été préparées par Robex. Les coûts
unitaires opérationnels de la LoM sont présentés dans le tableau
ci-dessous.
Tableau 6 : Coûts unitaires
opérationnels de la LoM
Point |
Coûts opérationnels (USD/t de minerai traité) |
Frais de raffinage et de transport |
0,05 |
Coûts miniers |
9,0 |
Coûts de traitement |
10,6 |
Coûts de maintenance |
0,7 |
Frais généraux et administratifs |
2,1 |
Coûts de l'entreprise |
1,6 |
Total |
24,0 |
Synthèse des coûts d'investissement
L’estimation des coûts d’investissement de
l’usine de traitement (« CAPEX ») a été compilée par
Primero avec la contribution de Knight Piésold sur la zone de
stockage des résidus et de Robex sur l’infrastructure d’eau et les
routes d’accès au site. Robex a fourni des estimations pour
l’établissement de la mine, les installations d’infrastructure,
l’alimentation électrique à haute tension et les coûts pour le
propriétaire.
À compter du 1er septembre 2024, le CAPEX total
de la LoM est estimé à 326 millions USD, comprenant 243 millions
USD de Capex initiaux, 19 millions USD de Capex de développement
après la période de construction, et 63 millions USD de Capex de
maintien, comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Le CAPEX
initial comprend une contingence de 5,8 %. Synthèse du
CAPEX de la LoM présentée dans le Tableau 7.
Tableau 7 : Synthèse
d'estimation des coûts d'investissement
Catégorie, en milliers d'USD |
Capex
initial |
Capex pendant
les opérations |
Capex
de maintien
de la LoM |
Capex total
de la LoM |
Exploitation minière |
29 150 |
|
1 863 |
31 014 |
Usine de traitement |
104 533 |
|
|
104 533 |
Zone de stockage |
12 868 |
19 129 |
10 889 |
42 886 |
Infrastructure |
35 610 |
|
|
35 610 |
G&A |
31 117 |
|
|
31 117 |
Autres coûts |
18 968 |
|
17 771 |
36 738 |
Coûts de fermeture |
|
|
32 856 |
32 856 |
Contingence |
10 961 |
- |
|
10 961 |
Total |
243 207 |
19 129 |
63 380 |
325 716 |
La construction a déjà commencé et 41 M USD du Capex prévu ont été
dépensés à la fin du mois de décembre 2024.
L'estimation des coûts de fermeture a été mise à
jour par ABS Africa, passant de 19,9 millions USD en 2023 à 32,8
millions USD. Cela inclut l'augmentation des coûts préliminaires et
généraux, la conception technique, les permis environnementaux et
la contingence.
Environnement et social
En vertu du Code minier, tout demandeur
d’autorisation d’exploitation doit soumettre une étude d’impact
environnemental et social (« EIES »).
Robex a achevé l'EIES en 2023. Il n’y a actuellement aucune
objection connue de Robex au développement du projet.
Le permis environnemental pour le projet a été
reçu et un plan de gestion environnementale et sociale
(« PGES ») est en cours de mise en œuvre
pour guider l’engagement communautaire local de Robex et s’assurer
que la société remplit ses obligations environnementales, en
minimisant les impacts de la mine dans la mesure du possible. Le
PGES est actuellement basé sur l'étude de faisabilité de 2023.
Cependant, le PGES est en cours de mise à jour avec la dernière
conception du projet de l'EF. Le PGES actualisé sera utilisé pour
assurer le respect des spécifications environnementales, des
mesures de surveillance et de gestion et sera mis en œuvre depuis
la préparation du site jusqu’au déclassement et à la fermeture.
Robex estime que sa contribution la plus
significative au développement durable et responsable est d’aider
ses employés locaux à obtenir ou à compléter leurs qualifications
professionnelles, assurant ainsi de longues carrières. Robex a
l’intention de reproduire le concept d’école de la mine en Guinée à
partir de ses opérations existantes au Mali, en ciblant une
proportion de plus de 90 % de talents locaux parmi sa main-d’œuvre
qualifiée.
Propriété, permis, taxes et
redevances
Une fois qu’une convention minière aura été
signée avec le gouvernement guinéen, Robex détiendra une
participation de 85 % dans Kiniéro, tandis que SOGUIPAMI (la
société minière publique guinéenne) aura une participation
de 15 %. Sous réserve de la participation de 15 % du
gouvernement guinéen, Robex détient également les droits exclusifs
d’acquérir la pleine propriété de la licence d’exploitation de
Mansounia. Robex a soumis au gouvernement guinéen une demande pour
convertir les permis en exploitation. En fin de compte, Robex
détiendra alors 85 % de Kiniéro et Mansounia, le reste étant détenu
par l’État guinéen. Les deux propriétés seront régies par la même
convention minière.
Sous réserve d’ajustement avec une convention
minière, le taux d'imposition des sociétés de 30 % a été appliqué
dans l'EF. Un taux de redevance de 5,5 %, une contribution de 1 %
au Fonds de développement minier local et une redevance privée de
0,5 % ont été appliqués à toutes les ventes.
ANALYSE FINANCIÈRE
Une analyse économique a été réalisée pour le
projet à l’aide d’un modèle de flux de trésorerie. Le modèle a été
construit à l’aide des flux de trésorerie annuels en tenant compte
des tonnages et des teneurs transformés annuels pour l’alimentation
CIL, des récupérations de procédé, des prix du métal, des coûts
d'exploitation et des frais de raffinage, des redevances et des
dépenses en capital (à la fois initiales à la production et de
maintien).
Le modèle économique a été exécuté avec deux
prix de l'or. Scénario 1 avec un prix de l'or
de 1 800 USD/oz utilisé pour les réserves minérales
et le scénario 2 avec le prix de l'or à long terme du consensus
S&P à la fin d'octobre 2024, compris entre 2 431 USD/oz et 2
320 USD/oz, tel qu'indiqué dans le Tableau 8.
Tableau 8 : Prix de l'or de la
LoM
Prix de l'or de la LoM |
années |
2026 |
2027 |
2028 |
Long terme |
Scénario 1 Réserves minérales |
USD/oz |
1 800 |
1 800 |
1 800 |
1 800 |
Scénario 2 avec le prix de l'or du consensus S&P (fin
octobre 2024) |
USD/oz |
2 431 |
2 314 |
2 320 |
2 320 |
L’évaluation financière du projet est effectuée sur une base de «
100 % des capitaux propres » et aucune provision n'a été constituée
pour tenir compte des effets de l'inflation. Les calculs
d’actualisation et de TRI ont été appliqués à compter du 1er
septembre 2024, en utilisant un taux d’actualisation
de 5 %.
Les coûts du projet sont inclus à partir de
juillet 2024 et les coûts irrécupérables sont pris en compte avant
juillet 2024, avec la production commerciale prévue pour janvier
2026.
Tableau 9 : Synthèse des coûts
sur l'ensemble de la LoM
Sur l'ensemble de la LoM, à compter du 1er
juillet 2023 |
Total
M USD |
Coût unitaire
USD/t
de minerai traité |
Coûts
USD/oz |
Frais de raffinage et de transport |
2 |
0,05 |
2 |
Coûts miniers |
407 |
9,0 |
335 |
Coûts de traitement |
513 |
11,3 |
423 |
G&A Guinée |
94 |
2,1 |
77 |
Coûts totaux du site |
1 016 |
22,4 |
837 |
Redevance gouvernementale |
198 |
4,4 |
163 |
Redevances privées |
31 |
0,7 |
26 |
Total des coûts opérationnels |
1 246 |
27,5 |
1 025 |
Coûts de maintien |
50 |
1,1 |
41 |
Coûts de maintien tout compris |
1 296 |
28,6 |
1 066 |
G&A hors de Guinée |
70 |
1,5 |
57 |
Coûts de développement |
237 |
5,2 |
195 |
Coûts de fermeture |
33 |
0,7 |
27 |
Coûts totaux |
1 635 |
36,0 |
1 346 |
Tableau 10 : Synthèse de la VAN, du TRI et du
délai de recouvrement à 1 800 USD/oz et au prix de l'or à
terme consensuel
|
Unités |
1 800 USD/oz
(prix de
l'or de réserve) |
2 330 USD/oz
(Prix* de l'or
consensus
2024) |
Rendements avant impôt |
|
|
|
VAN5 % |
M USD |
480 |
940 |
TRI |
% |
47 % |
79 % |
Période d'amortissement |
année |
2,1 |
1,3 |
Rendements après impôt |
|
|
|
VAN5 % |
M USD |
322 |
647 |
TRI |
% |
36 % |
61 % |
Période d'amortissement |
année |
2,6 |
1,6 |
La valeur du projet a été évaluée par des analyses de sensibilité
utilisant le prix de l'or à terme consensuel (Scénario 2) sur le
prix de l'or, les coûts d'exploitation, les coûts d'investissement
et les taux d'actualisation :
Tableau 11 : Sensibilité de la
VAN au prix de l'or
Prix de l'or |
VAN avant impôt
(M USD) |
VAN après impôt
(M USD) |
(15,0 %) |
639 |
434 |
(7,5 %) |
789 |
540 |
- |
940 |
647 |
7,5 % |
1 090 |
753 |
15,0 % |
1 240 |
860 |
Tableau 12 : Sensibilité de la VAN au coûts
d'investissement
Capex |
VAN avant impôt
(M USD) |
VAN après impôt
(M USD) |
(15,0 %) |
969 |
670 |
(7,5 %) |
954 |
658 |
- |
940 |
647 |
7,5 % |
925 |
636 |
15,0 % |
910 |
624 |
Tableau 13 : Sensibilité de la VAN au coûts
d'exploitation
Coûts d'exploitation |
VAN avant impôt
(M USD) |
VAN après impôt
(M USD) |
(15,0 %) |
1 056 |
731 |
(7,5 %) |
998 |
689 |
- |
940 |
647 |
7,5 % |
881 |
605 |
15,0 % |
823 |
563 |
|
|
|
Tableau 14 : Sensibilité au taux
d'actualisation
Taux d'actualisation |
VAN avant impôt
(M USD) |
VAN après impôt
(M USD) |
5,0 % |
940 |
647 |
7,5 % |
816 |
557 |
10,0 % |
711 |
481 |
Personne qualifiée
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent
aux ressources minérales ont été préparées ou supervisées par M.
Ingvar Kirchner, un employé à temps plein d’AMC Consultants Pty
Ltd. M. Kirchner est membre de l’Australasian Institute of Mining
& Metallurgy et membre de l’Australian Institute of
Geoscientists. Il possède une expérience suffisante pertinente pour
le projet à l’étude qu’il entreprend pour se qualifier à titre de
personne qualifiée («QP») en vertu du Règlement NI
43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui concernent la
géologie, l’exploration, le forage et la préparation des
échantillons, les analyses et la sécurité ont été préparées ou
supervisées par M. Nicholas Szebor, employé à temps plein d’AMC
Consultants (UK) Ltd. M. Szebor est géologue agréé auprès de la
Geological Society of London (CGeol) et de la Fédération européenne
des géologues (EurGeol). Il possède une expérience suffisante pour
le projet à l’étude qu’il entreprend pour se qualifier à titre de
personne qualifiée en vertu du Règlement NI 43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent
aux réserves minérales et à l’exploitation minière ont été
préparées ou supervisées par M. Glen Williamson, un employé à temps
plein d’AMC Consultants Pty Ltd. M. Williamson est membre et
professionnel agréé de l’Australasian Institute of Mining &
Metallurgy et il possède une expérience suffisante et pertinente
pour le projet à l’étude qu’il entreprend pour se qualifier à titre
de personne qualifiée en vertu du Règlement NI 43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent au
génie géotechnique ont été préparées ou supervisées par M. Jody
Thompson, fondateur et ingénieur principal de TREM Engineering en
Afrique du Sud. M. Thompson est ingénieur certifié en mécanique des
roches auprès de la Chamber of Mines of South Africa, membre en
règle du South African Institute of Rock Engineering, membre du
South African Institute of Mining and Metallurgy et membre de la
International Society of Rock Mechanics. Il possède une expérience
suffisante en rapport avec le produit, le style de minéralisation
considéré et l'activité qu'il entreprend pour se qualifier à titre
de personne qualifiée en vertu du Règlement NI 43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent à
la métallurgie et aux résultats de traitement ont été préparées ou
supervisées par M. Ryan Cunningham, employé à temps plein de
Primero. M. Cunningham est membre de l’Ordre des ingénieurs du
Québec (OIQ) et il possède une expérience suffisante et pertinente
pour le projet à l’étude qu’il entreprend pour se qualifier à titre
de personne qualifiée en vertu du Règlement NI 43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent
aux résultats des installations de stockage des résidus miniers ont
été préparées ou supervisées par M. Darren Anthony King, employé à
temps plein de Knight Piésold Limited (UK). M. King est géologue
agréé (Geological Society of London), ingénieur agréé et
environnementaliste (Institute of Engineer) et il possède une
expérience suffisante et pertinente pour le projet à l’étude qu’il
entreprend pour se qualifier à titre de personne qualifiée en vertu
du Règlement NI 43-101.
Les informations scientifiques ou techniques
contenues dans le présent communiqué de presse qui se rapportent
aux résultats environnementaux, sociaux et de gouvernance ont été
préparées ou supervisées par M. Faan Coetzee, un employé à temps
plein d’ABS AFRICA PTY. M. Coetzee est un scientifique
professionnel agréé auprès du South African Council for Natural
Scientific Professions et il possède une expérience suffisante et
pertinente pour le projet à l’étude qu’il entreprend pour se
qualifier à titre de personne qualifiée en vertu du Règlement NI
43-101.
M. Ingvar Kirchner, M. Nicholas Szebor, M. Glen
Williamson, M. Jody Thompson, M. Ryan Cunningham, M. Darren King et
M. Faan Coetzee ont chacun examiné et approuvé les informations
scientifiques et techniques relatives à leurs domaines d’expertise
respectifs mentionnés ci-dessus et n’ont pas ou n’avaient pas au
moment considéré d’affiliation avec Robex ou ses filiales, sauf
celle de la relation consultant/client indépendant. Les personnes
qualifiées concernées ont vérifié les données divulguées, y compris
les données d’échantillonnage, d’analyse et de tests qui
sous-tendent les informations contenues dans le présent communiqué
de presse. Cela comprenait un programme d’échantillonnage approprié
de contrôle de la qualité comprenant des étalons de référence, des
blancs et des doublons pour surveiller l’intégrité de tous les
résultats d’essai. Les données brutes d’assurance qualité et de
contrôle qualité (« AQ/CQ ») ont été fournies aux
personnes qualifiées qui ont examiné les données statistiquement.
Parmi les vérifications supplémentaires effectuées par les
personnes qualifiées, il convient de mentionner l’examen des
données historiques d’AQ/CQ et l’examen d’une sélection de
certificats d’essai.
De plus amples détails sur les renseignements
scientifiques et techniques relatifs au projet aurifère de Kiniéro
seront fournis dans le rapport technique du projet aurifère de
Kiniéro qui sera déposé sur SEDAR à l'adresse www.sedar.com dans
les 45 prochains jours.
Ni la Bourse de Toronto (TSX) ni son
régulateur (tel que défini dans ses politiques) n’assume la
responsabilité de l’adéquation ou de l’exactitude du présent
communiqué.
À propos de
Robex Resources, Inc.
Robex est une société de production et de
développement aurifère multi-juridictionnelle d’Afrique de l’Ouest
au potentiel d’exploration à court terme. La Société a pour
vocation la réalisation d’opérations sûres, diversifiées et
responsables dans les pays où elle exerce ses activités, avec pour
objectif de favoriser une croissance durable. La Société exploite
la mine Nampala au Mali depuis 2017, et fait progresser le
projet aurifère Kiniéro en Guinée.
Avec l’appui financier de deux actionnaires
stratégiques, Robex entend devenir l'un des plus importants
producteurs d’or de rang intermédiaire en Afrique de l’Ouest.
Pour plus d’informations
ROBEX RESOURCES, INC.
Matthew Wilcox, Président-directeur général
Alain William, Directeur financier
+1 581 741-7421
E-mail : investor@robexgold.com
www.robexgold.com
Informations et déclarations
prospectives
Le présent communiqué de presse contient des
« informations prospectives » et des « déclarations
prospectives » au sens de la législation canadienne sur
les valeurs mobilières applicables (« déclarations
prospectives »). Les déclarations prospectives sont
fournies dans le but de donner des informations sur les attentes et
les projets actuels de la Direction, afin de permettre aux
investisseurs et autres lecteurs de ce communiqué de mieux
appréhender les plans d’affaires, les performances financières et
la situation financière de la Société.
Les déclarations faites dans ce communiqué de
presse décrivant les estimations, les attentes, les prévisions, les
objectifs, les prédictions, les projections ou les stratégies de la
Société ou de la Direction peuvent caractériser des
« déclarations prospectives » et s’identifier par
l’emploi du conditionnel ou de termes prospectifs tels que
« viser », « anticiper », « tabler
sur », « croire », « pouvoir »,
« envisager », « continuer »,
« pourrait », « estimer », « s’attendre
à », « prévoir », « futur(e) »,
« orientation », « orienter »,
« indication », « avoir l’intention de »,
« intention », « probable »,
« peut », « pourrait », « objectif »,
« opportunité », « perspective »,
« plan », « potentiel », « devrait »,
« stratégie », « cible », « sera » ou
« serait », ou d’autres déclinaisons de signification
semblable ou leur forme négative. Les déclarations prospectives
comprennent également toute autre déclaration ne relevant pas de
faits historiques. Ces déclarations peuvent inclure, sans s’y
limiter, des déclarations concernant la valeur perçue et le
potentiel supplémentaire des propriétés de la Société, l’estimation
par la Société des ressources minérales et des réserves minérales
(au sens donné à ces expressions dans les Normes de définitions
pour les ressources minérales et les réserves minérales adoptées
par l’Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole
(« Normes de définitions de l’ICM ») et
incorporées dans le règlement NI 43-101, les dépenses et les
besoins en investissements, l’accès de la Société au financement (y
compris toute facilité de financement du projet), les résultats des
évaluations économiques préliminaires (au sens donné à cette
expression dans le règlement NI 43-101) et d’autres études de
développement, les résultats de l’exploration des propriétés de la
Société, les budgets, les plans stratégiques, le prix du marché des
métaux précieux, la capacité de la Société à faire progresser le
projet aurifère de Kiniéro sur la base des résultats projetés, et à
les atteindre, de l’étude de faisabilité (au sens donné à cette
expression dans les Normes de définitions de l’ICM incorporées dans
le règlement NI 43-101) y afférente, (y compris les résultats
économiques et de production), celle-ci pouvant être mise à jour de
temps à autre par la Société, le développement et l’exploitation
potentiels du projet aurifère de Kiniéro et des propriétés minières
existantes de la Société et de son plan d’affaires, y compris la
conclusion d’études de faisabilité ou la prise de décisions de
production à cet égard, les programmes de travail, l’obtention de
permis ou la validation d’autres échéances, les réglementations et
relations gouvernementales, l’optimisation du plan minier de la
Société, la performance financière ou opérationnelle future de la
Société et du projet aurifère de Kiniéro, le potentiel et les
opportunités d’exploration des propriétés existantes de la Société,
les coûts et le calendrier de l’exploration future et du
développement de nouveaux gisements.
Les déclarations et informations prospectives
sont fondées sur certaines hypothèses et d’autres facteurs
importants qui, s’ils se révélaient faux, pourraient faire en sorte
que les performances, réalisations ou résultats réels de la Société
diffèrent sensiblement des performances, réalisations ou résultats
futurs exprimés ou sous-entendus par ces déclarations ou
informations. Rien ne garantit que ces déclarations ou informations
s’avèreront exactes. Lesdites déclarations et informations reposent
sur de nombreuses hypothèses, y compris la capacité d’exécuter les
plans de la Société relatifs au projet aurifère de Kiniéro tels
qu’ils sont décrits dans l’étude de faisabilité y afférente,
celle-ci pouvant être mise à jour, le tout conformément au
calendrier révisé présenté précédemment par la Société, la capacité
de la Société à parvenir à un accord avec les autorités maliennes
pour établir un nouveau cadre de travail durable sur la fiscalité
et pour la poursuite durable de ses activités et d’autres
investissements d’exploration à Nampala, la capacité de la Société
à mener à bien les programmes d’exploration et de développement
prévus, l’absence de conditions défavorables au projet aurifère de
Kiniéro, l’absence de retards opérationnels imprévus, l’absence de
retards importants dans l’obtention des permis nécessaires, le
maintien du prix de l’or à des niveaux permettant d’assurer la
rentabilité du projet aurifère de Kiniéro, la capacité de la
Société à continuer à lever les capitaux nécessaires pour financer
ses opérations, la capacité de la Société à restructurer le
prêt-relais de 35 millions USD de Taurus et à ajuster le
mandat pour tenir compte du calendrier révisé du projet élargi, la
capacité de la Société à conclure l’accord définitif de facilité de
financement du projet de 115 millions USD pour le projet aurifère
de Kiniéro (y compris une facilité de dépassement de coût de 15
millions USD) à des conditions acceptables si tant est qu’elle les
conclue, et à satisfaire les conditions préalables à la clôture et
aux avances qui en découlent (y compris la satisfaction des autres
conditions et approbations habituelles en matière de diligence
raisonnable et autres), la capacité à réaliser les ressources
minérales et les réserves minérales estimées et les hypothèses
concernant les stratégies commerciales actuelles et futures, les
conditions géopolitiques et économiques locales et mondiales et
l’environnement dans lequel la Société opère et opérera à
l’avenir.
Certains facteurs importants pourraient faire en
sorte que les résultats, les performances ou les réalisations réels
de la Société diffèrent sensiblement de ceux présentés dans les
déclarations prospectives et informations prospectives, y compris,
mais sans s’y limiter : les risques géopolitiques et les
problèmes de sécurité liés à ses activités en Afrique de l’Ouest, y
compris l’incapacité de la Société à faire valoir ses droits et la
possibilité de troubles civils et de désobéissance civile, les
fluctuations du prix de l’or, les limitations des estimations des
réserves et des ressources minérales de la Société, la nature
spéculative de l’exploration et du développement miniers, le
remplacement de ses réserves minérales épuisées, le nombre limité
de ses projets, le risque que le gisement de Kiniéro ne soit pas
exploité de manière adéquate, le risque que le projet aurifère de
Kiniéro n’atteigne jamais le stade de la production (y compris en
raison d’un manque de financement), les besoins en capitaux de la
Société et l’accès au financement, les modifications de la
législation, de la réglementation et des normes comptables
auxquelles la Société est soumise, y compris les normes en matière
d’environnement, de santé et de sécurité, et l’impact de cette
législation, de cette réglementation et de ces normes sur les
activités de la Société, les participations et les redevances
payables à des tiers, la volatilité des prix et la disponibilité
des matières premières, l’instabilité du système financier mondial,
les effets d’une forte inflation, tels que l’augmentation des prix
des matières premières, les fluctuations des taux de change, le
risque de tout litige en cours ou futur contre la Société, les
limitations des transactions entre la Société et ses filiales
étrangères, le risque que la cotation des actions de la Société à
la Bourse Australienne ne soit pas approuvée et/ou autrement mise
en œuvre, et même si elle l'est, qu'elle ne permette pas de
soutenir la croissance à long terme de la Société, la volatilité
dans les prix du marché des parts de la Société, les risques liés à
la fiscalité, y compris les changements dans les lois ou
évaluations fiscales de la Société ; l’incapacité de la
Société à défendre avec succès ses positions dans les négociations
avec les autorités maliennes pour établir un nouveau cadre de
travail fiscal pour la Société, y compris les risques fiscaux
actuels au Mali, l’obtention et le maintien par la Société des
titres de propriété ainsi que des permis et des licences
nécessaires pour ses opérations en cours, les changements dans les
paramètres des projets et/ou les évaluations économiques à mesure
que les plans continuent d’être affinés, le risque que les coûts
réels dépassent les coûts estimés, les problèmes techniques
géologiques, miniers et d’exploration, l’incapacité de l’usine, de
l’équipement ou des processus à fonctionner comme prévu, les
accidents, les conflits de travail et autres risques de l’industrie
minière, les retards dans l’obtention d’approbations
gouvernementales ou de financement, les effets des crises de santé
publique, sur les activités de la Société, les relations de la
Société avec ses employés et d’autres parties prenantes, y compris
les gouvernements locaux et les communautés dans les pays où elle
opère, le risque de toute violation des lois anticorruption
applicables, des réglementations sur le contrôle des exportations,
des programmes de sanctions économiques et des lois connexes par la
Société ou ses fondés de pouvoir, le risque que la Société entre en
conflits avec des mineurs artisanaux, la concurrence avec d’autres
sociétés minérales, la dépendance de la Société à l’égard de
contractants tiers et sa dépendance à l’égard de cadres clés et de
personnel hautement qualifié, l’accès de la Société à des
infrastructures adéquates, les risques associés aux responsabilités
potentielles de la Société concernant ses installations de stockage
de résidus, les interruptions de la chaîne d’approvisionnement, les
dangers et les risques habituellement associés à l’exploration
minérale et au développement et à la production aurifère, les
problèmes liés à la météo et au climat, le risque de défaillance
des systèmes informatiques et les menaces de cybersécurité, et le
risque que la Société ne soit pas en mesure de s'assurer contre
tous les risques potentiels liés à ses activités.
Même si la Société estime que ses anticipations
reposent sur des hypothèses raisonnables et qu’elle s’est efforcée
d’identifier les facteurs majeurs pouvant entraîner des actions,
événements ou résultats réels nettement différents de ceux décrits
dans les informations prospectives, d’autres facteurs sont
susceptibles d’entraîner des actions, événements ou résultats
différents des anticipations, estimations et prévisions. Si ces
facteurs susceptibles d’affecter la Société ne sont pas listés de
manière complète et exhaustive, ils doivent cependant être analysés
avec soin. Rien ne garantit que les informations prospectives
s’avèreront exactes, dans la mesure où les résultats réels et les
événements futurs pourraient différer sensiblement de ceux qui y
sont anticipés.
La Société décline toute obligation de mettre à
jour les informations prospectives si les circonstances, les
estimations, hypothèses ou opinions de la Direction venaient à
changer, sauf si la loi l’exige. Nous recommandons aux lecteurs de
ne pas se fier indûment aux informations prospectives. Les
informations prospectives figurant dans le présent communiqué sont
présentées dans le but d’aider les investisseurs à appréhender les
performances et les résultats financiers et d’exploitation attendus
de la Société aux dates indiquées et pour les périodes se terminant
à ces dates, en accord avec ses plans et objectifs, et peuvent ne
pas être appropriées à d’autres fins.
Veuillez vous référer au Chapitre
« Facteurs de risque » du rapport annuel de la Société
pour l’exercice arrêté au 31 décembre 2023, daté du
29 avril 2024, et à la rubrique « Risques et
incertitudes » de chacun des rapports de gestion de la société
datés du 29 avril 2024 pour l'exercice clos le
31 décembre 2023, et au rapport de gestion de la Société
daté du 29 novembre 2024 pour les semestres arrêtés
respectivement aux 30 septembre 2024
et 30 septembre 2023, qui sont tous disponibles par
voie électronique sur SEDAR+ à l'adresse www.sedarplus.ca ou
sur le site web de la Société www.robexgold.com Toutes les
déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué de
presse sont expressément assorties de cette mise en garde.
Les photos annexées au présent communiqué sont disponibles aux
adresses suivantes :
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f78d305f-feb0-452e-864d-d75218fab9d5
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/29881c9d-6b6c-4dd2-b858-ea21887b4b13
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/b6431e8a-f512-4908-8957-ce8109d098d2
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/b71ccca3-2b62-4f60-b371-75d55beee67a
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/5109f7de-a091-44b9-abf7-ba5952db7f6f
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f8908fb5-b2fd-4a81-9b31-a06f68fa4de7
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/cdbdf8e7-1a58-4537-95dc-b1181157d3df
https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/e46aec9c-ae9a-41fa-b0a1-1c5d299daf08
Robex Resources (TG:RB4)
Historical Stock Chart
From Dec 2024 to Jan 2025
Robex Resources (TG:RB4)
Historical Stock Chart
From Jan 2024 to Jan 2025