QUÉBEC et MONTRÉAL, le 4 juill. 2024 /CNW/ - Le Réseau Santécom a adopté sa toute première convention de partenariat entre ses 15 organisations membres. Cette démarche, coordonnée par l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), vise à répondre aux défis grandissants de cet important réseau de bibliothèques québécoises spécialisées en santé et services sociaux.

Logo de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) (Groupe CNW/Institut national de santé publique du Québec)

La convention nouvellement approuvée comprend les balises nécessaires afin de faciliter la coopération entre les établissements. Elle aura pour principal avantage d'harmoniser les pratiques entre des bibliothèques qui doivent composer avec des collections et des clientèles de plus en plus variées.

Depuis sa création en 1986, Santécom a considérablement évolué. Initialement conçu pour rassembler et rendre accessibles les documents en santé publique produits au Québec, il est devenu, sous la coordination de l'INSPQ depuis 1998, un réseau de bibliothèques essentiel pour soutenir l'accès aux connaissances. Aujourd'hui utilisé par plus de la moitié du personnel du réseau de la santé et des services sociaux du Québec, Santécom est l'une des plus importantes bases de données francophones à l'échelle internationale. Il enregistre quotidiennement plus de 75 prêts et renouvellements de documents et héberge près de 25 000 publications de littérature grise pouvant être consultées gratuitement en format PDF.

En collaboration avec l'Institut national d'excellence en santé et en services sociaux, l'INSPQ continue de jouer un rôle central en facilitant la coopération entre les organisations membres. En fédérant et en outillant ces bibliothèques, l'INSPQ leur permet d'exercer pleinement leur mission. Il favorise par le fait même la découverte d'interventions prometteuses, la valorisation des résultats de recherche ainsi que l'accès à de l'information fiable sur l'état de santé de la population.

Pour en savoir plus, consultez le site de l'INSPQ et de Santécom.

SOURCE Institut national de santé publique du Québec

Copyright 2024 Canada NewsWire